Deux journalistes français et leurs trois accompagnateurs afghans ont été enlevés mercredi à 60 km au nord-est de Kaboul, a annoncé jeudi à l'AFP une de leurs consoeurs à Kaboul, alors que leur employeur France Télévisions disait être sans nouvelles d'eux depuis deux jours. L'enlèvement s'est produit à une soixantaine de km de Kaboul, dans la province montagneuse de Kapisa où sont déployés environ 700 soldats des 3.750 soldats que la France compte en Afghanistan et dans les pays voisins, dont 3.300 sur le sol afghan.
En visite sur les bases françaises en Afghanistan pour le Nouvel An, le ministre français de la Défense, Hervé Morin, a également indiqué être "sans nouvelles" des deux journalistes français et n'avoir reçu "aucune revendication d'aucun groupe".
"Aucune hypothèse n'est donc à exclure et nous mettons en oeuvre tous les moyens pour entrer en contact avec eux", a ajouté le ministre sur la base française de Nijrab, au nord-est de Kaboul.
L'équipe de journalistes était arrivée mercredi matin dans le village de Surobi pour rencontrer un contact qui devait leur permettre d'aller ensuite sur la route de Tagab. Mais selon la journaliste française, "le contact a prévenu les talibans qui ont tendu un guet-apens à nos journalistes".
En visite sur les bases françaises en Afghanistan pour le Nouvel An, le ministre français de la Défense, Hervé Morin, a également indiqué être "sans nouvelles" des deux journalistes français et n'avoir reçu "aucune revendication d'aucun groupe".
"Aucune hypothèse n'est donc à exclure et nous mettons en oeuvre tous les moyens pour entrer en contact avec eux", a ajouté le ministre sur la base française de Nijrab, au nord-est de Kaboul.
L'équipe de journalistes était arrivée mercredi matin dans le village de Surobi pour rencontrer un contact qui devait leur permettre d'aller ensuite sur la route de Tagab. Mais selon la journaliste française, "le contact a prévenu les talibans qui ont tendu un guet-apens à nos journalistes".