Une année qui s’écoule c’est toujours une occasion pour dresser quelques bilans ou se souvenir des événements les plus marquants. Normalement ce sont les événements dont on débat le plus et qui seront retenus, quelques années plus tard, dans les pages des ouvrages comme « Chronique du siècle » ou similaires.
Comment était-elle donc, l’année 2009? Et surtout comment s’est-elle gravée dans nos mémoires? Vue par les Français, c’était une nouvelle étape de révélations, de duels et de scandales politiques. La polémique suscitée par la candidature de Jean Sarkozy à la tête de l'Epad arrive en tête des sujets les plus commentés. Pour certains, cet événement s’érige en symbole de la décadence du système politique français. Mais il y a aussi la polémique sur le livre de Frédéric Mitterrand, «La mauvaise vie» qui lui a valu maintes critiques de la part des Français: le ministre est contesté s’étant fourvoyé dans des actes et des prises de position que la morale et la loi réprouvent.
Sur le plan international, s'il est un évènement auquel personne n'a été indifférent, c'est la grippe A N1H1 qui a entraîné toute une série d’actions et de phobies. Il faut citer également le décès de Michael Jackson, l’affaire Polanski et, toujours pour les chroniques suisses, l'interdiction des minarets. Non seulement ce sujet a soulèvé un débat de société, mais il fait aussi référence aux problèmes religieux et identitaires auxquels la France est confrontée mais également sensibilisée suite au débat lancé par Eric Besson. Voilà un important terrain de confrontation d’opinions. Bref, la France termine cette année, à l’accoutumée : faute de grands soubresauts, on donne de la verve dans les débats. Un signe plurôt positif et encourageant, même s’il y a eu, bien évidemment la crise et son effet sur la situation sociale.
À propos, en Russie, la crise fait nettement partie du palmarès de l’année. Ses conséquences, surtout pour certaines villes, ont en effet été très pesantes. Mais, ce sont les catastrophes et les accidents qui ont bouleversé les Russes plus qu’autre chose, à savoir : l’incendie d’une discothèque de Perm (152 morts), l’accident de la centrale hydrolique Saïano-Chouchenskaia (72 morts), l’acte terroriste contre un train express Moscou-St Pétersbourg, la grippe porcine. Pour les sujets positifs, il y a eu l’élection du nouveau Patriarche de l’Église orthodoxe russe, l’introduction d’un bac national et le lancement d’un premier TGV, toujours entre les deux capitales. Dommage que ce ne soit pas encore entre les deux mondes : russe et occidental. Sans une percée en la matière, les bilans de l’année risquent de rester encore longtemps comme ils sont aujourd’hui : incomparables. Si ce n’est pour la grippe.
Comment était-elle donc, l’année 2009? Et surtout comment s’est-elle gravée dans nos mémoires? Vue par les Français, c’était une nouvelle étape de révélations, de duels et de scandales politiques. La polémique suscitée par la candidature de Jean Sarkozy à la tête de l'Epad arrive en tête des sujets les plus commentés. Pour certains, cet événement s’érige en symbole de la décadence du système politique français. Mais il y a aussi la polémique sur le livre de Frédéric Mitterrand, «La mauvaise vie» qui lui a valu maintes critiques de la part des Français: le ministre est contesté s’étant fourvoyé dans des actes et des prises de position que la morale et la loi réprouvent.
Sur le plan international, s'il est un évènement auquel personne n'a été indifférent, c'est la grippe A N1H1 qui a entraîné toute une série d’actions et de phobies. Il faut citer également le décès de Michael Jackson, l’affaire Polanski et, toujours pour les chroniques suisses, l'interdiction des minarets. Non seulement ce sujet a soulèvé un débat de société, mais il fait aussi référence aux problèmes religieux et identitaires auxquels la France est confrontée mais également sensibilisée suite au débat lancé par Eric Besson. Voilà un important terrain de confrontation d’opinions. Bref, la France termine cette année, à l’accoutumée : faute de grands soubresauts, on donne de la verve dans les débats. Un signe plurôt positif et encourageant, même s’il y a eu, bien évidemment la crise et son effet sur la situation sociale.
À propos, en Russie, la crise fait nettement partie du palmarès de l’année. Ses conséquences, surtout pour certaines villes, ont en effet été très pesantes. Mais, ce sont les catastrophes et les accidents qui ont bouleversé les Russes plus qu’autre chose, à savoir : l’incendie d’une discothèque de Perm (152 morts), l’accident de la centrale hydrolique Saïano-Chouchenskaia (72 morts), l’acte terroriste contre un train express Moscou-St Pétersbourg, la grippe porcine. Pour les sujets positifs, il y a eu l’élection du nouveau Patriarche de l’Église orthodoxe russe, l’introduction d’un bac national et le lancement d’un premier TGV, toujours entre les deux capitales. Dommage que ce ne soit pas encore entre les deux mondes : russe et occidental. Sans une percée en la matière, les bilans de l’année risquent de rester encore longtemps comme ils sont aujourd’hui : incomparables. Si ce n’est pour la grippe.