Donner une nouvelle qualité de la vie aux citoyens et moderniser l’économie nationale sont deux grands objectifs de l’Etat russe. C’est ce qu’a jugé lundi le président Dimitri Medvedev à la réunion du Conseil des législateurs.
L’essentiel à présent pour la Russie est de surmonter l’arriération technologique, qui s’est accusée à la limite des années 80 et 90 du siècle dernier et qui s’est accentuée après que notre pays eut sombré avec d’autres Etats dans le gouffre de la crise économique, a remarqué M. Medvedev. "Nous devons sortir de cette crise non pas en augmentant les livraisons des hydrocarbures. Ce n’est pas difficile à faire, et c’est une recette vérifiée. Mais elle ne mène nulle part. Nous avons à nous tirer de la crise en réformant l’économie nationale. Et je le répète, je compte là sur le soutien des législateurs de tous les sujets de la Fédération".
Le chef de l’Etat a insisté à nouveau sur l’engagement des responsables de tous les pouvoirs dans le règlement du problème de chômage.
"Maintenant c’est le problème n°1. Parce que nous avons à présent une croissance de la production. En parlant du secteur agraire, là tout n’est pas si mal. Tandis que le chômage, les questions de l’emploi se mettent au premier plan. J’y attire encore une fois l’attention de toutes les assemblées législatives".
L’essentiel à présent pour la Russie est de surmonter l’arriération technologique, qui s’est accusée à la limite des années 80 et 90 du siècle dernier et qui s’est accentuée après que notre pays eut sombré avec d’autres Etats dans le gouffre de la crise économique, a remarqué M. Medvedev. "Nous devons sortir de cette crise non pas en augmentant les livraisons des hydrocarbures. Ce n’est pas difficile à faire, et c’est une recette vérifiée. Mais elle ne mène nulle part. Nous avons à nous tirer de la crise en réformant l’économie nationale. Et je le répète, je compte là sur le soutien des législateurs de tous les sujets de la Fédération".
Le chef de l’Etat a insisté à nouveau sur l’engagement des responsables de tous les pouvoirs dans le règlement du problème de chômage.
"Maintenant c’est le problème n°1. Parce que nous avons à présent une croissance de la production. En parlant du secteur agraire, là tout n’est pas si mal. Tandis que le chômage, les questions de l’emploi se mettent au premier plan. J’y attire encore une fois l’attention de toutes les assemblées législatives".
Le chef de l’Etat s’est également attardé sur les problèmes rencontrés par les investisseurs, surtout dans les régions russes. A ce jour les projets d’investissement touchant, par exemple, la construction sont concertés dans plusieurs régions de trois mois à trois ans. Au regard du président Medvedev, les propositions des placeurs de capitaux doivent être examinées dans les plus brefs délais.