Le chef de la diplomatie russe Serguei Lavrov a fait ressortir dans son interview à la chaîne « Russia Today » que des décisions importantes et des projets d’intégration d’envergure s’imposaient l’année prochaine dans l’espace de la CEI.
Pour donner à ces projets un contenu réel, il fait réaliser un grand travail de préparation. Ce travail suit déjà son cours surtout dans le domaine de l’économie avec la signature de l’accord sur l’Union douanière regroupant la Russie, le Kazakhstan et la Biélorussie. Le tarif douanier unique s’appliquera à partir du premier janvier 2010 sur le territoire des trois pays. Quant à l’Union douanière, elle deviendra opérationnelle le premier juillet, après la mise en vigueur du code douanier. Selon les estimations des experts la capacité du marché des trois États représente plus de deux trillions de dollars. Au cours du récent sommet informel d’Almati, les présidents Dmitri Medevedev, Noursoultan Nazarbaev et Alexandre Loukachenko se sont mis d’accord sur la création de l’espace économique unique (EEU) des trois pays dans la zone de la Communauté économique eurasienne (CEEA) qu’on envisage de mettre en place d’ici deux ans. Comme l’a dit dans son interview à la chaîne Vesti le ministre des AE de la Russie Serguei Lavrov, toutes les conditions nécessaires sont déjà réunies :
Les processus d’intégration ont pour moteur l’avantage économique qui sera incontestablement le facteur déterminant pour nous tous parce que le fait d’unir les efforts nous rend plus compétitifs. C’est précisément ce qui se passe dans le cadre de la CEEA ou il existe désormais un fonds anticrise qui se double d’un Centre des technologies de pointe. Cela reflète notre volonté commune de moderniser nos économies notamment par le truchement de l’Union douanière qui démarrera le premier janvier. Il faut franchir le premier pas et nous sommes en mesure de le faire.
L’année 2010, quand la Russie assurera la présidence tournante dans l’espace de la CEI, doit devenir pour ses membres celle de la science et des innovations. Les partenaires poursuivront leurs efforts pour surmonter les conséquences de la crise financière et économique globale. Le chef de la diplomatie russe pense en outre que la formation des forces d’intervention rapide dans le cadre du Traité de sécurité collective fait également partie des grandes missions auxquelles il faudra s’attaquer.
Pour donner à ces projets un contenu réel, il fait réaliser un grand travail de préparation. Ce travail suit déjà son cours surtout dans le domaine de l’économie avec la signature de l’accord sur l’Union douanière regroupant la Russie, le Kazakhstan et la Biélorussie. Le tarif douanier unique s’appliquera à partir du premier janvier 2010 sur le territoire des trois pays. Quant à l’Union douanière, elle deviendra opérationnelle le premier juillet, après la mise en vigueur du code douanier. Selon les estimations des experts la capacité du marché des trois États représente plus de deux trillions de dollars. Au cours du récent sommet informel d’Almati, les présidents Dmitri Medevedev, Noursoultan Nazarbaev et Alexandre Loukachenko se sont mis d’accord sur la création de l’espace économique unique (EEU) des trois pays dans la zone de la Communauté économique eurasienne (CEEA) qu’on envisage de mettre en place d’ici deux ans. Comme l’a dit dans son interview à la chaîne Vesti le ministre des AE de la Russie Serguei Lavrov, toutes les conditions nécessaires sont déjà réunies :
Les processus d’intégration ont pour moteur l’avantage économique qui sera incontestablement le facteur déterminant pour nous tous parce que le fait d’unir les efforts nous rend plus compétitifs. C’est précisément ce qui se passe dans le cadre de la CEEA ou il existe désormais un fonds anticrise qui se double d’un Centre des technologies de pointe. Cela reflète notre volonté commune de moderniser nos économies notamment par le truchement de l’Union douanière qui démarrera le premier janvier. Il faut franchir le premier pas et nous sommes en mesure de le faire.
L’année 2010, quand la Russie assurera la présidence tournante dans l’espace de la CEI, doit devenir pour ses membres celle de la science et des innovations. Les partenaires poursuivront leurs efforts pour surmonter les conséquences de la crise financière et économique globale. Le chef de la diplomatie russe pense en outre que la formation des forces d’intervention rapide dans le cadre du Traité de sécurité collective fait également partie des grandes missions auxquelles il faudra s’attaquer.