Selon le chef du Haut conseil de la sécurité nationale de l’Iran Saide Jalili qui est en visite officielle au Japon, l’Iran ne va pas accepter la proposition de l’AIEA concernant la sortie de son territoire de l’uranium faiblement enrichi et continuera la réalisation de son programme nucléaire pacifique.
Dans les conditions proposées le Téhéran n’est pas d’accord de rendre son uranium. Les Etats-Unis et ses alliées déclarent que s’il n’accepte pas avant la fin de l’année la proposition de l’AIEA concernant le recyclage de ses réserves d’uranium faiblement enrichi, des nouvelles sanctions ne se feront pas attendre. Selon le chef du centre des recherches orientales de l’Académie diplomatique du Ministère des affaires étrangères de la Russie Andrei Volodin, il est clair que cela n’aboutira à aucun résultat, surtout à un résultat positif.
Premièrement, il faut dire que les Etats-Unis ne sont pas vraiment capables de faire quelque chose concernant un si grand pays comme l’Iran. Deuxièmement, l’AIEA et les Etats-Unis en menaçant par des sanctions, ne font que consolider le régime d’Ahmadinejad. C’est pour cela l’Iran est prêt à continuer avec Barack Obama « la guerre des nerfs » qu’il a mené avec George Bush.
Pourtant, la situation n’est pas sans issue. Le président de l’Iran Mahmoud Ahmadinejad a fait comprendre que le Téhéran pourrait envoyer l’uranium à l’étranger, en plus il est prêt à discuter sa quantité, mais pas dans le climat de menaces constantes. Des pays occidentaux doivent passer au respect et à la légitimité dans ses relations avec l’Iran. Dans ce cas là le Téhéran commencera des négociations, a souligné le leader de l’Iran.
Dans les conditions proposées le Téhéran n’est pas d’accord de rendre son uranium. Les Etats-Unis et ses alliées déclarent que s’il n’accepte pas avant la fin de l’année la proposition de l’AIEA concernant le recyclage de ses réserves d’uranium faiblement enrichi, des nouvelles sanctions ne se feront pas attendre. Selon le chef du centre des recherches orientales de l’Académie diplomatique du Ministère des affaires étrangères de la Russie Andrei Volodin, il est clair que cela n’aboutira à aucun résultat, surtout à un résultat positif.
Premièrement, il faut dire que les Etats-Unis ne sont pas vraiment capables de faire quelque chose concernant un si grand pays comme l’Iran. Deuxièmement, l’AIEA et les Etats-Unis en menaçant par des sanctions, ne font que consolider le régime d’Ahmadinejad. C’est pour cela l’Iran est prêt à continuer avec Barack Obama « la guerre des nerfs » qu’il a mené avec George Bush.
Pourtant, la situation n’est pas sans issue. Le président de l’Iran Mahmoud Ahmadinejad a fait comprendre que le Téhéran pourrait envoyer l’uranium à l’étranger, en plus il est prêt à discuter sa quantité, mais pas dans le climat de menaces constantes. Des pays occidentaux doivent passer au respect et à la légitimité dans ses relations avec l’Iran. Dans ce cas là le Téhéran commencera des négociations, a souligné le leader de l’Iran.
Mais à l'Occident continue la compagnie propagandiste contre l’Iran. Dans ce contexte la déclaration du président du Comité des chefs d’États-majors interarmées des Etats-Unis Michael Mullen concernant ce que bien que les efforts diplomatiques restent toujours la priorité pour l’Amérique, le Pentagone doit être prêt a utilisé les forces armées contre l’Iran, a sonné sérieusement. Il ne reste qu’espérer que c’est aussi un des moyens de l’arsenal de « la guerre des nerfs ».
L’attitude de Moscou n’a pas changé. Le chef du ministère des Affaires Etrangères Sergei Lavrov l’a répété encore une fois devant les étudiants-journalistes à Tachkent : la situation en Iran ne peut pas être réglée par des moyens militaires.
L’attitude de Moscou n’a pas changé. Le chef du ministère des Affaires Etrangères Sergei Lavrov l’a répété encore une fois devant les étudiants-journalistes à Tachkent : la situation en Iran ne peut pas être réglée par des moyens militaires.