L’afflux des capitaux étrangers en Russie ne tarit pas, en dépit de la crise. Le Premier ministre a dressé le bilan de l’année à une réunion de la commission gouvernementale chargée du contrôle des investissements étrangers.
Comme un exemple de capitalisation du secteur bancaire russe le Premier ministre a mentionné les plans de la Banque Européenne de Reconstruction et de Développement (BERD) d’affecter plus de 4,5 milliards de roubles aux besoins d’un établissement financier commercial de Russie. M. Poutine a relevé que les placements dans la sphère bancaire avaient d’actualité surtout dans les conditions de crise.
35 milliards de $ d’investissements directs ont déjà été fait de janvier à septembre 2009 dans l’économie russe. Dans les conditions de crise économique et financière mondiale ce n’est pas un mauvais résultat. Je ne doute pas que ceux qui font aujourd’hui des investissements et apportent des technologies dans notre pays auront des avantages concurrentiels sur le marché russe, mais aussi sur les marchés internationaux.
Entre temps des amendements sont préparés à la loi sur les investissements. Les partenaires étrangers étaient inquiétés par cette nouvelle, craignant que les corrections à apporter ne changent en mal leur situation en Russie. Or M. Poutine a dissipé leurs craintes. Il a donné instruction qu’avant même d’être examinés par le gouvernement et soumis à la chambre basse du parlement, tous les amendements soit discutés avec les investisseurs eux-mêmes. Les partenaires d’affaires pourront prendre connaissance du texte définitif du document déjà en janvier.
Comme un exemple de capitalisation du secteur bancaire russe le Premier ministre a mentionné les plans de la Banque Européenne de Reconstruction et de Développement (BERD) d’affecter plus de 4,5 milliards de roubles aux besoins d’un établissement financier commercial de Russie. M. Poutine a relevé que les placements dans la sphère bancaire avaient d’actualité surtout dans les conditions de crise.
35 milliards de $ d’investissements directs ont déjà été fait de janvier à septembre 2009 dans l’économie russe. Dans les conditions de crise économique et financière mondiale ce n’est pas un mauvais résultat. Je ne doute pas que ceux qui font aujourd’hui des investissements et apportent des technologies dans notre pays auront des avantages concurrentiels sur le marché russe, mais aussi sur les marchés internationaux.
Entre temps des amendements sont préparés à la loi sur les investissements. Les partenaires étrangers étaient inquiétés par cette nouvelle, craignant que les corrections à apporter ne changent en mal leur situation en Russie. Or M. Poutine a dissipé leurs craintes. Il a donné instruction qu’avant même d’être examinés par le gouvernement et soumis à la chambre basse du parlement, tous les amendements soit discutés avec les investisseurs eux-mêmes. Les partenaires d’affaires pourront prendre connaissance du texte définitif du document déjà en janvier.