La Russie et l’OTAN accèdent à un niveau plus élevé des relations, a déclaré Dmitri Medvedev en s’entretenant à Moscou avec Anders Fogh Rasmussen. Le secrétaire général de l’OTAN a exhorté Moscou à participer plus activement à l’opération en Afghanistan en y envoyant les hélicoptères, les pilotes et en y livrant les combustibles. Dmitri Medvedev a chargé le gouvernement d’examiner l’initiative.
La Russie et l’Atlantique-Nord entendent promouvoir la coopération systémique. Bruxelles se montre intéressé à engager un dialogue permanent avec Moscou pour démentir les stéréotypes concernant l’alliance en Russie et vice versa. Les rapports ont été suspendus après les événements d’août 2008 au Caucase et maintenant les parties font des pas l’une au-devant de l’autre. Certes, il existe des problèmes en suspens, des divergences, notamment au sujet de l’élargissement de l’OTAN grâce à l’admission des républiques ex-soviétiques. Cela concerne en premier lieu la Géorgie et l’Ukraine. Selon Moscou, ces intentions déstabilisent la situation et entravent la sécurité de la Russie. Or, il ne faut pas dramatiser les divergences, a souligné aujourd’hui le ministre russe des AE Serguei Lavrov. Il est possible de régler les problèmes en suspens. Le Kremlin a soumis fin novembre à l’examen de Bruxelles le projet d’Accord sur la sécurité européenne globale compte tenu des intérêts des parties concernées. Le président de Russie Dmitri Medvedev a dit, en particulier :
Beaucoup dépend du niveau de coopération entre la Fédération de Russie et l’OTAN. J’ai présenté il n’y a pas longtemps l’initiative de signer un Accord sur la sécurité européenne. Je sais que le document est minutieusement étudié, notamment par nos partenaires au sein de l’OTAN. Je souhaite succès dans votre mission et j’espère que les rapports entre la Fédération de Russie et l’Atlantique Nord seront plus solides et productifs à l’issue de votre visite.
La Russie et l’Atlantique-Nord entendent promouvoir la coopération systémique. Bruxelles se montre intéressé à engager un dialogue permanent avec Moscou pour démentir les stéréotypes concernant l’alliance en Russie et vice versa. Les rapports ont été suspendus après les événements d’août 2008 au Caucase et maintenant les parties font des pas l’une au-devant de l’autre. Certes, il existe des problèmes en suspens, des divergences, notamment au sujet de l’élargissement de l’OTAN grâce à l’admission des républiques ex-soviétiques. Cela concerne en premier lieu la Géorgie et l’Ukraine. Selon Moscou, ces intentions déstabilisent la situation et entravent la sécurité de la Russie. Or, il ne faut pas dramatiser les divergences, a souligné aujourd’hui le ministre russe des AE Serguei Lavrov. Il est possible de régler les problèmes en suspens. Le Kremlin a soumis fin novembre à l’examen de Bruxelles le projet d’Accord sur la sécurité européenne globale compte tenu des intérêts des parties concernées. Le président de Russie Dmitri Medvedev a dit, en particulier :
Beaucoup dépend du niveau de coopération entre la Fédération de Russie et l’OTAN. J’ai présenté il n’y a pas longtemps l’initiative de signer un Accord sur la sécurité européenne. Je sais que le document est minutieusement étudié, notamment par nos partenaires au sein de l’OTAN. Je souhaite succès dans votre mission et j’espère que les rapports entre la Fédération de Russie et l’Atlantique Nord seront plus solides et productifs à l’issue de votre visite.