La police polonaise a obligé les 230 réfugiés russes et géorgiens à quitter le train qu'ils avaient détourné mardi pour aller à Strasbourg, a annoncé Anna Galon, porte-parole du département du Haut Oder des gardes-frontières polonais."Nous n'avons usé de la force ni d'aucuns moyens spéciaux dont dispose la police, parce qu'il y avait 60 enfants parmi les réfugiés", a indiqué Mme Galon.
Le train détourné mardi à la gare centrale de Legnica (Pologne) a été bloqué au poste frontalier de Zgorzelec, à la frontière avec l'Allemagne. Les réfugiés — des ressortissants de deux républiques russes (Ingouchie et Tchétchénie), ainsi que de la Géorgie — avaient l'intention de se plaindre auprès de la Cour européenne des droits de l'homme de Strasbourg des mauvaises conditions de vie dans les centres d'accueil polonais pour réfugiés. Les réfugiés seront transférés au service des gardes-frontières de Zgorzelec avant d'être "ramenés aux centres d'accueil polonais d'où ils étaient arrivés", a ajouté Mme Galon.
Le train détourné mardi à la gare centrale de Legnica (Pologne) a été bloqué au poste frontalier de Zgorzelec, à la frontière avec l'Allemagne. Les réfugiés — des ressortissants de deux républiques russes (Ingouchie et Tchétchénie), ainsi que de la Géorgie — avaient l'intention de se plaindre auprès de la Cour européenne des droits de l'homme de Strasbourg des mauvaises conditions de vie dans les centres d'accueil polonais pour réfugiés. Les réfugiés seront transférés au service des gardes-frontières de Zgorzelec avant d'être "ramenés aux centres d'accueil polonais d'où ils étaient arrivés", a ajouté Mme Galon.