Une semaine s’est écoulée depuis la tragédie dans la boîte de nuit « Le Cheval boiteux » à Perm. Plus d’une centaine de personnes sont ensevelies. Cependant, le nombre de victimes augmente ayant atteint 144 personnes. Plus de 80 blessés sont dans les hôpitaux de Moscou, de St Petersbourg, de Tcheliabinsk et de Perm.
Il est possible que ce week-end devienne crucial pour les blessés. Les médecins soignant les malades avec des brûlures attendent habituellement le septième jour : celui de la crise. Au micro Olga Krivonos, chef du département de l’assistance médicale du ministère russe de la Santé :
Les malades sont dans l’état grave et très grave. Nous avons aujourd’hui assez de médicaments. Le traitement est onéreux mais les hôpitaux ont tout le nécessaire. Il en sera ainsi à l’avenir également.
De 50 à 90% du corps est brûlé chez la plupart des blessés. Plusieurs d’entre eux ont des brûlures très profondes. Tous les malades devront suivre un traitement et un cours prolongé de réhabilitation. Pour les médecins l’essentiel consiste à assurer un état stable à ceux qui sont dans un état grave, dit Olga Krivonos.
Il est possible que ce week-end devienne crucial pour les blessés. Les médecins soignant les malades avec des brûlures attendent habituellement le septième jour : celui de la crise. Au micro Olga Krivonos, chef du département de l’assistance médicale du ministère russe de la Santé :
Les malades sont dans l’état grave et très grave. Nous avons aujourd’hui assez de médicaments. Le traitement est onéreux mais les hôpitaux ont tout le nécessaire. Il en sera ainsi à l’avenir également.
De 50 à 90% du corps est brûlé chez la plupart des blessés. Plusieurs d’entre eux ont des brûlures très profondes. Tous les malades devront suivre un traitement et un cours prolongé de réhabilitation. Pour les médecins l’essentiel consiste à assurer un état stable à ceux qui sont dans un état grave, dit Olga Krivonos.
Ceux qui ont la peau brûlée à 50 — 90%, suivront le traitement pendant une période prolongée. Toutes les procédures médicales seront sans aucun doute financées par l’Etat, dit Olga Krivonos.
La tragédie s’est produite vendredi dernier. Près de 300 invités se sont réunis à une soirée dans le club « le Cheval boiteux ». L’incendie a été provoqué par les feux d’artifice. Des centaines de personnes se sont précipitées vers l’unique sortie. Les sapeurs pompiers sont arrivés tout de suite. Néanmoins, une centaine de personnes sont mortes des traumas pendant quelques heures et encore 40 personnes — cette semaine.
Non seulement les propriétaires du club sont coupables de la tragédie. Selon le Premier ministre russe Vladimir Poutine, en plus des entrepreneurs et des propriétaires du Club, les fonctionnaires d’Etat et les services régionaux ayant autorisé l’ouverture du club malgré de multiples violations sont coupables. Le président Dmitri Medvedev a qualifié les propriétaires du club de « nigauds irresponsables » ayant signalé la nécessité d’examiner le rôle des structures fédérales. Le président et le premier ministre insistent sur les efforts résolus des organes de l’ordre. Plus d’une vingtaine de fonctionnaires sont destitués, plusieurs d’entre eux se sont vus adresser les accusations de négligence.
La tragédie s’est produite vendredi dernier. Près de 300 invités se sont réunis à une soirée dans le club « le Cheval boiteux ». L’incendie a été provoqué par les feux d’artifice. Des centaines de personnes se sont précipitées vers l’unique sortie. Les sapeurs pompiers sont arrivés tout de suite. Néanmoins, une centaine de personnes sont mortes des traumas pendant quelques heures et encore 40 personnes — cette semaine.
Non seulement les propriétaires du club sont coupables de la tragédie. Selon le Premier ministre russe Vladimir Poutine, en plus des entrepreneurs et des propriétaires du Club, les fonctionnaires d’Etat et les services régionaux ayant autorisé l’ouverture du club malgré de multiples violations sont coupables. Le président Dmitri Medvedev a qualifié les propriétaires du club de « nigauds irresponsables » ayant signalé la nécessité d’examiner le rôle des structures fédérales. Le président et le premier ministre insistent sur les efforts résolus des organes de l’ordre. Plus d’une vingtaine de fonctionnaires sont destitués, plusieurs d’entre eux se sont vus adresser les accusations de négligence.