La Russie et l’OTAN ont repris le dialogue interrompu après les évènements d’août 2008 dans le Caucase. Tous les trois documents soumis à l’approbation ont été validé à Bruxelles lors de la réunion du Conseil Russie OTAN. Le Secrétaire Général de l’Alliance Anders Fogh Rasmussen a déclaré qu’il considérait cette rencontre comme un bon départ pour la reprise des relations. Selon lui, les pays de l’OTAN sont prêts à discuter avec la Russie du projet du nouveau Traité de sécurité européenne.
Le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov a cerné devant les journalistes dont notre correspondante Elisaveta Isaakova, le champ du débat.
Le débat avait porté sur les plans d’extension de l’Alliance, le régime de contrôle sur les armements conventionnels en Europe et le rapprochement de son infrastructure militaire des frontières de la Russie. Nous avons exposé par le menu nos préoccupations et espérons qu’elles ont été entendues par nos partenaires. Nous avons également insisté sur les risques associés aux livraisons d’armes en Géorgie qui se poursuivent toujours. Globalement, le développement de notre partenariat avec l’OTAN dépendra dans une grande mesure de l’évolution du travail sur la formulation de la conception stratégique de l’Alliance.
Sergueï Lavrov a fait ressortir que tous les pays européens sans exception aucune devaient s’impliquer dans la sécurité du continent, y compris la Russie. Le chef de la diplomatie russe a dissipé les doutes au sujet du projet du Traité de sécurité européenne qui avait été envoyé par le président Dmitri Medvedev aux chefs d’État des pays de l’OTAN.
Le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov a cerné devant les journalistes dont notre correspondante Elisaveta Isaakova, le champ du débat.
Le débat avait porté sur les plans d’extension de l’Alliance, le régime de contrôle sur les armements conventionnels en Europe et le rapprochement de son infrastructure militaire des frontières de la Russie. Nous avons exposé par le menu nos préoccupations et espérons qu’elles ont été entendues par nos partenaires. Nous avons également insisté sur les risques associés aux livraisons d’armes en Géorgie qui se poursuivent toujours. Globalement, le développement de notre partenariat avec l’OTAN dépendra dans une grande mesure de l’évolution du travail sur la formulation de la conception stratégique de l’Alliance.
Sergueï Lavrov a fait ressortir que tous les pays européens sans exception aucune devaient s’impliquer dans la sécurité du continent, y compris la Russie. Le chef de la diplomatie russe a dissipé les doutes au sujet du projet du Traité de sécurité européenne qui avait été envoyé par le président Dmitri Medvedev aux chefs d’État des pays de l’OTAN.
Le projet russe n’a rien d’implicite et ne contient aucune tentative de s’arroger le droit de veto sur les activités de l’OTAN. Nous avons en revanche l’engagement commun de ne pas renforcer notre propre sécurité aux dépens des autres. Le texte du traité est explicite à ce sujet et stipule que peuvent y adhérer toutes les organisations dont les structures dirigeantes de l’OTAN.
Sergueï Lavrov a fait ressortir que malgré la présence de certaines contestations, la réunion du Conseil Russie OTAN avait pour la première fois permis d’aboutir à des résultats constructifs et prometteur et ce depuis plusieurs années. La première réunion du groupe de travail Russie OTAN doit se tenir en janvier 2010. Elle se penchera sur la question qui divise les parties et notamment la configuration de la défense antimissile en Europe.
Sergueï Lavrov a fait ressortir que malgré la présence de certaines contestations, la réunion du Conseil Russie OTAN avait pour la première fois permis d’aboutir à des résultats constructifs et prometteur et ce depuis plusieurs années. La première réunion du groupe de travail Russie OTAN doit se tenir en janvier 2010. Elle se penchera sur la question qui divise les parties et notamment la configuration de la défense antimissile en Europe.