La Russie adhérera à l’OMC compte tenu de la formation de l’Union douanière qui regroupera la Fédération de Russie, le Kazakhstan et la Biélorussie, a déclaré le président Dmitri Medvedev à l’issue du sommet des trois Etats à Moscou où ont été signés les documents sur la formation de l’Union.
Les pourparlers sur l’adhésion de la Russie à l’OMC se dérouleront compte tenu de ce facteur : de l’Union douanière avec le Kazakhstan et la Biélorussie, a souligné Dmitri Medvedev. Selon lui, la formation de l’Union douanière doit stimuler le dialogue.
« Nous sommes disposés à adhérer à l’OMC. Qui le fera le premier – est une question purement technique », a dit le président russe. Il a expliqué qu’il existait deux possibilités d’adhérer à l’OMC : ensemble ou séparément en s’appuyant sur les positions concertées. "Les deux variantes nous conviennent », a assuré Medvedev ayant indiqué que les pourparlers durent trop longtemps :
Nous sommes depuis bien longtemps dans l’antichambre de l’OMC. Si nous comprenons qu’il est nécessaire pour la Russie d’adhérer à l’OMC, cette institution doit prendre elle aussi conscience du fait que plus de pays y participent, et plus sérieux est le potentiel de l’OMC. L’OMC n’est pas une fin en soi. Nous nous proposons de développer l’économie qui permettra à nos citoyens de vivre en confort. L’OMC est une institution qui aide à former les règles communes du jeu, lève les restrictions commerciales, contribue à prévenir le protectionnisme. Or, ce n’est qu’une institution à laquelle nous voudrions participer. Il existe deux options d’adhésion. Premièrement, l’adhésion de l’Union qui existe non seulement sur le papier mais en régime d’un accord conclu. Deuxièmement, les trois pays adhèrent séparément à l’OMC en se fondant sur les positons concertées.
Les pourparlers sur l’adhésion de la Russie à l’OMC se dérouleront compte tenu de ce facteur : de l’Union douanière avec le Kazakhstan et la Biélorussie, a souligné Dmitri Medvedev. Selon lui, la formation de l’Union douanière doit stimuler le dialogue.
« Nous sommes disposés à adhérer à l’OMC. Qui le fera le premier – est une question purement technique », a dit le président russe. Il a expliqué qu’il existait deux possibilités d’adhérer à l’OMC : ensemble ou séparément en s’appuyant sur les positions concertées. "Les deux variantes nous conviennent », a assuré Medvedev ayant indiqué que les pourparlers durent trop longtemps :
Nous sommes depuis bien longtemps dans l’antichambre de l’OMC. Si nous comprenons qu’il est nécessaire pour la Russie d’adhérer à l’OMC, cette institution doit prendre elle aussi conscience du fait que plus de pays y participent, et plus sérieux est le potentiel de l’OMC. L’OMC n’est pas une fin en soi. Nous nous proposons de développer l’économie qui permettra à nos citoyens de vivre en confort. L’OMC est une institution qui aide à former les règles communes du jeu, lève les restrictions commerciales, contribue à prévenir le protectionnisme. Or, ce n’est qu’une institution à laquelle nous voudrions participer. Il existe deux options d’adhésion. Premièrement, l’adhésion de l’Union qui existe non seulement sur le papier mais en régime d’un accord conclu. Deuxièmement, les trois pays adhèrent séparément à l’OMC en se fondant sur les positons concertées.
« En plus de former l’Union douanière, nous avons signé les documents qui seront soumis à la ratification et nous œuvrerons pour ouvrier un espace douanier, pour appliquer le code douanier et un tarif douanier », a souligné Dmitri Medvedev. « Nous nous appuierons sur les documents signés aujourd’hui qui correspondent entièrement à notre position aux pourparlers sur l’OMC. Le tarif sommaire au sein de l’Union est inférieur à celui que nous utilisons aux pourparlers avec l’OMC », a indiqué le chef de l’Etat russe.