Il est peu probable qu’un nouvel accord international contraignant sur le changement de climat soit signé à la conférence de l’ONU qui se tiendra en décembre à Copenhague. Un accord politique qui y sera élaboré donnera sans doute une nouvelle impulsion aux pourparlers sur la réduction du rejet de gaz à effet de serre, ont conclu les chefs d’Etat au forum de l’APEC à Singapour. Le président de Russie Dmitri Medvedev a pris part au sommet.
Le président russe a participé au sommet écologique informel de l’APEC. Les pourparlers sur un nouvel accord climatique qui devra remplacer le protocole de Kyoto après 2012 se déroulent difficilement. Les divergences sérieuses surgissent vu le refus de plusieurs pays de réduire le rejet de gaz à effet de serre dans l’atmosphère. Pour y parvenir il faut réduire la production industrielle ou implanter les technologies écologiques onéreuses.
Le premier ministre danois Lars Lekke Rasmussen a dit qu’il serait, malheureusement, impossible de régler tous les détails du futur accord à Copenhague. Il faudra se limiter à adopter une déclaration politique pour que les juristes préparent le document à la signature.
Dmitri Medvedev a soutenu le plan d’adoption d’un accord climatique à deux étapes. Il importe de comprendre comment sera élaboré le document universel final en 2010-2011 et de ce fait, il est nécessaire d’adopter et de suivre une « Feuille de route », a souligné le président de Russie.
Le président russe a participé au sommet écologique informel de l’APEC. Les pourparlers sur un nouvel accord climatique qui devra remplacer le protocole de Kyoto après 2012 se déroulent difficilement. Les divergences sérieuses surgissent vu le refus de plusieurs pays de réduire le rejet de gaz à effet de serre dans l’atmosphère. Pour y parvenir il faut réduire la production industrielle ou implanter les technologies écologiques onéreuses.
Le premier ministre danois Lars Lekke Rasmussen a dit qu’il serait, malheureusement, impossible de régler tous les détails du futur accord à Copenhague. Il faudra se limiter à adopter une déclaration politique pour que les juristes préparent le document à la signature.
Dmitri Medvedev a soutenu le plan d’adoption d’un accord climatique à deux étapes. Il importe de comprendre comment sera élaboré le document universel final en 2010-2011 et de ce fait, il est nécessaire d’adopter et de suivre une « Feuille de route », a souligné le président de Russie.
Le processus d’adoption de l’accord avance mais il ne faut pas le faire traîner en longueur, estime le chef du Programme « Climat et énergie » de la Fondation mondiale pour la protection de la nature sauvage WWF de Russie Alexei Kokorine :
Ce plan n’est pas un échec. Si un accord politique n’est pas suivi de la décision de l’ONU de poursuivre l’élaboration d’un accord contraignant et de sa conclusion, disons, fin 2010, cela signifiera un échec. Pour le moment les parties concernées poursuivent la réalisation des objectifs écologiques sérieux.
La prévention du changement climatique global a focalisé l’attention des délégués au forum de l’APEC à Singapour. Cette institution régionale regroupe 21 pays et territoires, y compris la Chine, les Etats-Unis, la Russie, les Etats d’Asie du Sud-Est et d’Amérique latine, le Japon, l’Australie, le Canada. Ces pays rejetant les plus grandes quantités de gaz à effet de serre assurent plus de 50% de la production mondiale.
Ce plan n’est pas un échec. Si un accord politique n’est pas suivi de la décision de l’ONU de poursuivre l’élaboration d’un accord contraignant et de sa conclusion, disons, fin 2010, cela signifiera un échec. Pour le moment les parties concernées poursuivent la réalisation des objectifs écologiques sérieux.
La prévention du changement climatique global a focalisé l’attention des délégués au forum de l’APEC à Singapour. Cette institution régionale regroupe 21 pays et territoires, y compris la Chine, les Etats-Unis, la Russie, les Etats d’Asie du Sud-Est et d’Amérique latine, le Japon, l’Australie, le Canada. Ces pays rejetant les plus grandes quantités de gaz à effet de serre assurent plus de 50% de la production mondiale.