Selon lui, "le retard technique et technologique par rapport au niveau mondial" figure parmi les "points les plus faibles" du bâtiment russe.
"A l'heure actuelle, les solutions inefficaces retenues au stade de la conception du projet entraînent un renchérissement substantiel des ouvrages et une augmentation des frais nécessaires à leur exploitation", a souligné M.Kozak lors d'une réunion consacrée à la formation des ingénieurs du bâtiment, tenue à l'Université nationale du Bâtiment et des Travaux publics de Moscou (MGTSU).
Pour y remédier, le vice-premier ministre propose d'intensifier la recherche scientifique dans la branche.
Après avoir constaté que le niveau professionnel de la main-d'oeuvre employée dans le bâtiment était en rupture avec les besoins du secteur, il a fait savoir que la proportion des spécialistes diplômés des écoles russes du BTP travaillant selon leur spécialité était légèrement supérieure à 50%.