Le monde doit vivre sans arme nucléaire. C'est l'idéal difficilement accessible, mais il faut s'avancer vers ce but, a déclaré le président de Russie Dmitri Medvedev dans l'interview à la Première chaine de télévision, la variante complète paraitra dimanche soir.
La Russie n'est pas intéressée que le club nucléaire existant aujourd'hui s'élargisse encore plus, et elle est prête à travailler dans cette direction, a souligné Dmitri Medvedev.
Il existe des pays qui possèdent l'arme nucléaire, pour ainsi dire, en secret : il y a des membres du club nucléaire qui ne reconnaissent pas la présence chez eux-mêmes de l'arme nucléaire, mais tous savent que ces pays en ont. La Russie n'est pas intéressée à ce qu'il y ait un élargissement de ce club nucléaire. C’est que, dans le cas contraire, la situation peut simplement sortir de tout contrôle. La tâche de la non-prolifération – c’est la tâche la plus importante. Visant cela, nous devons parallèlement nous occuper de la réduction des potentiels stratégiques offensifs et des porteurs des ogives nucléaires.
De plus, le président est assuré que la Russie et les États-Unis doivent travailler ensemble sur la solution de cette tâche. Fait réjouissant : la nouvelle administration de la Maison Blanche manifeste l'intérêt pour cela, à la différence de l'ancienne administration, qui ne considérait pas la réduction du potentiel nucléaire comme une priorité de sa politique extérieure. Nous nous rappelons que le 6 juillet de cette année, les présidents des deux pays ont signé l'accord de cadre sur les armements stratégiques offensifs. Il deviendra une base pour le nouvel accord. Moscou et Washington ont fait savoir clairement qu'ils ont l'intention de réduire presque deux fois la quantité de charges nucléaires. Les chiffres concrets seront coordonnés au cours des négociations ultérieures. Mais déjà maintenant, il y a une bonne base pour avancer, dit Dmitri Medvedev.
La Russie n'est pas intéressée que le club nucléaire existant aujourd'hui s'élargisse encore plus, et elle est prête à travailler dans cette direction, a souligné Dmitri Medvedev.
Il existe des pays qui possèdent l'arme nucléaire, pour ainsi dire, en secret : il y a des membres du club nucléaire qui ne reconnaissent pas la présence chez eux-mêmes de l'arme nucléaire, mais tous savent que ces pays en ont. La Russie n'est pas intéressée à ce qu'il y ait un élargissement de ce club nucléaire. C’est que, dans le cas contraire, la situation peut simplement sortir de tout contrôle. La tâche de la non-prolifération – c’est la tâche la plus importante. Visant cela, nous devons parallèlement nous occuper de la réduction des potentiels stratégiques offensifs et des porteurs des ogives nucléaires.
De plus, le président est assuré que la Russie et les États-Unis doivent travailler ensemble sur la solution de cette tâche. Fait réjouissant : la nouvelle administration de la Maison Blanche manifeste l'intérêt pour cela, à la différence de l'ancienne administration, qui ne considérait pas la réduction du potentiel nucléaire comme une priorité de sa politique extérieure. Nous nous rappelons que le 6 juillet de cette année, les présidents des deux pays ont signé l'accord de cadre sur les armements stratégiques offensifs. Il deviendra une base pour le nouvel accord. Moscou et Washington ont fait savoir clairement qu'ils ont l'intention de réduire presque deux fois la quantité de charges nucléaires. Les chiffres concrets seront coordonnés au cours des négociations ultérieures. Mais déjà maintenant, il y a une bonne base pour avancer, dit Dmitri Medvedev.
Nous avons coordonné une série de documents comment nous allons travailler sur le nouvel accord sur la restriction des armements stratégiques offensifs. Un travail actif se fait maintenant. Un groupe compétent russe, avec les experts américains, continue la coordination de ce document. La durée de l'ancien accord expire le 5 décembre de l'année en cours. En principe, nous avons fixé devant nos négociateurs la tâche de se mettre d'accord jusqu'à cette période.
Les chances de se mettre d'accord ne sont pas très mauvaises, trouve le président russe. Mais cela signifie que toutes les possibilités sur la voie de la réduction du potentiel nucléaire mondial sont ouvertes.
Les chances de se mettre d'accord ne sont pas très mauvaises, trouve le président russe. Mais cela signifie que toutes les possibilités sur la voie de la réduction du potentiel nucléaire mondial sont ouvertes.