Le ministère russe de la Défense considère positivement l’initiative américaine de renoncer au déploiement des éléments ABM en Tchéquie et en Pologne, a déclaré à Moscou Anatoli Serdukov, ministre russe de la Défense. Le ministère russe de la Défense répondra à la déclaration des Etats-Unis et présentera sous peu aux dirigeants de la Russie ses propositions à cet effet.
Rappelons que la Russie a proposé en son temps à l’administration de George Bush d’utiliser en commun les radars à Gabala, Azerbaïdjan, et à Armavir, Russie. Moscou a avancé en contrepartie une autre initiative : le président russe Dmitri Medvedev a déclaré qu’il ne déploierait pas les lance-missiles « Iskander » dans la région de Kaliningrad. De l’avis des experts, la Russie est capable d’apporter une contribution technologique de poids à la création avec les Etats-Unis et l’UE d’un système ABM commun. La Russie pourrait au moyen de ses lance-missiles placer en orbite l’ensemble de l’unité d’expérimentation avec à son bord les systèmes ABM. Alexandre Pikaev, expert de l’Institut d’économie mondiale et de relations internationales, est à notre micro.
Nous espérons naturellement que ces démarches soient positives, comme par exemple la discussion au sujet de la création d’un système ABM non stratégique entre la Russie et l’Otan. Il pourrait se déployer dans le but des protéger les contingents d’interposition russes et otaniens dans des régions quelconques. L’échange de données de mise en alerte avancée de la Russie, des Etats-Unis et de l’Otan qui utiliseraient les radars dans le but d’alerter les uns les autres serait possible aussi. Pour le faire, il faut créer un centre d’échange de données.
L’Initiative américaine de renoncer au déploiement en Tchéquie et en Pologne de la 3ème zone de positionnement des éléments ABM américains et celles de la Russie permettraient aux deux pays de rehausser le niveau de confiance mutuelle et de faire redémarrer l’ensemble des relations bilatérales. Il s’agit notamment de préparer et de conclure un nouveau traité d’armements offensifs stratégiques. Le travail a déjà été entamé si bien que le document serait prêt dans les délais fixés auparavant, a dit avec conviction Dmitri Medvedev. Rappelons que les présidents Medvedev et Obama ont convenu, lors du sommet de juillet à Moscou, que chaque partie réduise jusqu’à 1,5 mille le nombre d’ogives, 7 ans après l’entrée en vigueur du nouveau traité. Le Traité de limitation des armements offensifs stratégiques (ASO1) expirera début décembre 2009.
Rappelons que la Russie a proposé en son temps à l’administration de George Bush d’utiliser en commun les radars à Gabala, Azerbaïdjan, et à Armavir, Russie. Moscou a avancé en contrepartie une autre initiative : le président russe Dmitri Medvedev a déclaré qu’il ne déploierait pas les lance-missiles « Iskander » dans la région de Kaliningrad. De l’avis des experts, la Russie est capable d’apporter une contribution technologique de poids à la création avec les Etats-Unis et l’UE d’un système ABM commun. La Russie pourrait au moyen de ses lance-missiles placer en orbite l’ensemble de l’unité d’expérimentation avec à son bord les systèmes ABM. Alexandre Pikaev, expert de l’Institut d’économie mondiale et de relations internationales, est à notre micro.
Nous espérons naturellement que ces démarches soient positives, comme par exemple la discussion au sujet de la création d’un système ABM non stratégique entre la Russie et l’Otan. Il pourrait se déployer dans le but des protéger les contingents d’interposition russes et otaniens dans des régions quelconques. L’échange de données de mise en alerte avancée de la Russie, des Etats-Unis et de l’Otan qui utiliseraient les radars dans le but d’alerter les uns les autres serait possible aussi. Pour le faire, il faut créer un centre d’échange de données.
L’Initiative américaine de renoncer au déploiement en Tchéquie et en Pologne de la 3ème zone de positionnement des éléments ABM américains et celles de la Russie permettraient aux deux pays de rehausser le niveau de confiance mutuelle et de faire redémarrer l’ensemble des relations bilatérales. Il s’agit notamment de préparer et de conclure un nouveau traité d’armements offensifs stratégiques. Le travail a déjà été entamé si bien que le document serait prêt dans les délais fixés auparavant, a dit avec conviction Dmitri Medvedev. Rappelons que les présidents Medvedev et Obama ont convenu, lors du sommet de juillet à Moscou, que chaque partie réduise jusqu’à 1,5 mille le nombre d’ogives, 7 ans après l’entrée en vigueur du nouveau traité. Le Traité de limitation des armements offensifs stratégiques (ASO1) expirera début décembre 2009.