Le format des sommets du G2O devient le principal forum permanent de gestion de l’économie mondiale. Le président russe Dmitri Medvedev considère que cette décision, prise à Pittsburg par les leaders des pays développés et émergeants, est une des plus importantes.
Les participants au sommet se sont mis d’accord sur la plupart des questions. Ainsi, il a été décidé de ne pas suspendre les mesures anticrise tant que la croissance de l’économie mondiale ne se sera pas stabilisée. Faisant le point de la rencontre, le président russe a noté que tout ce qui avait été prévu a été fait et que les résultats positifs sont évidents.
Les résultats apparus dernièrement dans l’économie mondiale et les économies nationales ne sont pas mauvais. La Russie ne fait pas exception, bien que ce ne soient que les tous premiers indicateurs du redressement. Ce que nous avons discuté aujourd’hui n’est pas seulement une réaction opportune aux problèmes, engendrés par la crise, et l’octroi de fonds pour renflouer les économies, mais aussi une stratégie de sortie de la crise.
Les participants au sommet se sont mis d’accord sur la plupart des questions. Ainsi, il a été décidé de ne pas suspendre les mesures anticrise tant que la croissance de l’économie mondiale ne se sera pas stabilisée. Faisant le point de la rencontre, le président russe a noté que tout ce qui avait été prévu a été fait et que les résultats positifs sont évidents.
Les résultats apparus dernièrement dans l’économie mondiale et les économies nationales ne sont pas mauvais. La Russie ne fait pas exception, bien que ce ne soient que les tous premiers indicateurs du redressement. Ce que nous avons discuté aujourd’hui n’est pas seulement une réaction opportune aux problèmes, engendrés par la crise, et l’octroi de fonds pour renflouer les économies, mais aussi une stratégie de sortie de la crise.
Dans leur résolution finale les leaders des 2O ont déclaré « Nous voulons assurer la croissance économique sans qu’il y ait des cycles de boom et de récession ». Les 2O estiment que les banques devraient appliquer une politique plus pondérée, l’irresponsabilité des banquiers étant aujourd’hui une des causes principales des bouleversements économiques.
Il faut des normes rigides pour le capital des compagnies et les bonus à leurs dirigeants, surtout dans le secteur financiers. On a besoin de mécanismes de contrôle pour éviter des risques supplémentaires. Les participants à la rencontre ont également décidé de suivre le comportement des économies nationales, le qualifiant de « système de prévention ». Le président russe a jugé très utiles les accords sur une nouvelle répartition de quotas au Fonds Monétaire International et à la Banque Mondiale en faveur des économies émergeantes.
Nous nous sommes penchés sur la réforme des institutions de Bretton-Woods, y compris sur la redistribution des quotas au Fonds Monétaire International et à la Banque Mondiale, question importante qui attendait sa solution depuis longtemps. Le résultat obtenu démontre l’attitude responsable des leaders envers leurs engagements internationaux. Il a été convenu que 5% des voix seront redistribuées dans le FMI et 3% — dans la Banque Mondiale.
Dmitri Medvedev est revenu sur sa proposition d’augmenter le nombre des monnaies de réserve. Bien que cette décision ne figure pas dans le communiqué du G2O, elle rallie de plus en plus d’adhésions dans de nombreux pays, estime le chef de l’Etat russe.
Que cette idée soit dans l’air, c’est déjà bien . Personne ne dit plus que c’est absurde, qu’il y a le dollar et l’euro et que cela suffit. Notre idée de monnaies de réserve devient aujourd’hui évidente. Mais pour que ces monnaies apparaissent ou pour que le rouble soit utilisé comme monnaie de réserves, il faut que murissent des conditions et que le rouble devienne plus attrayant.
Le leader russe s’est également penché dans son discours sur le plan de sortie de la crise et a mis l’accent sur la proposition du premier ministre britannique Gordon Brown concernant la nécessité du monitoring de la politique macroéconomique, applicable dans une égale mesure à tous les membres du G2O. Cela permettrait, selon Medvedev, de mettre sur pied un système efficace de prévention des problèmes.
Il est des situations qui nous rendent otages du changement des paramètres macroéconomiques dans les plus grandes économies du monde. Pour le sentir d’avance, nous devons étudier les affaires les uns des autres – c’est un changement assez révolutionnaire, mais les membres du G2O l’ont accepté. De ce fait nous appliquerons l’idée du monitoring conjoint des paramètres macroéconomiques dans les économies nationales et pourrons , de ce fait, créer un système plus efficace de prévention des crises.
Les participants au sommet ont programmé deux rencontres pour l’année prochaine – en juin au Canada et en novembre en Corée du Sud. Dmitri Medvedev estime que l’application de la stratégie de sortie de la crise sera le thème principal des prochains sommets.
Il faut des normes rigides pour le capital des compagnies et les bonus à leurs dirigeants, surtout dans le secteur financiers. On a besoin de mécanismes de contrôle pour éviter des risques supplémentaires. Les participants à la rencontre ont également décidé de suivre le comportement des économies nationales, le qualifiant de « système de prévention ». Le président russe a jugé très utiles les accords sur une nouvelle répartition de quotas au Fonds Monétaire International et à la Banque Mondiale en faveur des économies émergeantes.
Nous nous sommes penchés sur la réforme des institutions de Bretton-Woods, y compris sur la redistribution des quotas au Fonds Monétaire International et à la Banque Mondiale, question importante qui attendait sa solution depuis longtemps. Le résultat obtenu démontre l’attitude responsable des leaders envers leurs engagements internationaux. Il a été convenu que 5% des voix seront redistribuées dans le FMI et 3% — dans la Banque Mondiale.
Dmitri Medvedev est revenu sur sa proposition d’augmenter le nombre des monnaies de réserve. Bien que cette décision ne figure pas dans le communiqué du G2O, elle rallie de plus en plus d’adhésions dans de nombreux pays, estime le chef de l’Etat russe.
Que cette idée soit dans l’air, c’est déjà bien . Personne ne dit plus que c’est absurde, qu’il y a le dollar et l’euro et que cela suffit. Notre idée de monnaies de réserve devient aujourd’hui évidente. Mais pour que ces monnaies apparaissent ou pour que le rouble soit utilisé comme monnaie de réserves, il faut que murissent des conditions et que le rouble devienne plus attrayant.
Le leader russe s’est également penché dans son discours sur le plan de sortie de la crise et a mis l’accent sur la proposition du premier ministre britannique Gordon Brown concernant la nécessité du monitoring de la politique macroéconomique, applicable dans une égale mesure à tous les membres du G2O. Cela permettrait, selon Medvedev, de mettre sur pied un système efficace de prévention des problèmes.
Il est des situations qui nous rendent otages du changement des paramètres macroéconomiques dans les plus grandes économies du monde. Pour le sentir d’avance, nous devons étudier les affaires les uns des autres – c’est un changement assez révolutionnaire, mais les membres du G2O l’ont accepté. De ce fait nous appliquerons l’idée du monitoring conjoint des paramètres macroéconomiques dans les économies nationales et pourrons , de ce fait, créer un système plus efficace de prévention des crises.
Les participants au sommet ont programmé deux rencontres pour l’année prochaine – en juin au Canada et en novembre en Corée du Sud. Dmitri Medvedev estime que l’application de la stratégie de sortie de la crise sera le thème principal des prochains sommets.
