Le développement du partenariat public-privé, des transports et équipements collectifs et de l’infrastructure municipale sont les principaux thèmes de la 2e journée du forum économique à Sotchi. 8 mille politiques et businessmen russes et étrangers discutent des perspectives du devenir de la Russie comme un des centres mondiaux d’investissements.
Le premier-ministre russe Vladimir Poutine, qui a donné vendredi le ton à ce forum, a laissé entendre que bien que le bas de la crise semble déjà dépassé, le pouvoir exécutif ne tolérera aucun relâche, ne permettra pas de suivre le courant.
Il serait erroné de croire que le pire soit déjà révolu. On ne peut pas avancer en comptant toujours sur « le vent en poupe » de l’économie mondiale. Il faut s’attaquer aujourd’hui aux problèmes systémiques, ayant engendré la crise. Nous devons en tirer des enseignements sérieux. Durant la crise, la Russie a senti à pleine échelle les revers de la diversification insuffisante de son économie, de la faiblesse de son système financier et des manques de l’infrastructure.
Pour moderniser l’économie, l’Etat se propose de s’appuyer sur les investissements privés. Les fonctionnaires du gouvernement ont expliqué à Sotchi les mesures qu’ils envisagent de prendre pour stimuler les hommes d’affaires nationaux à investir en Russie, plutôt qu’à l’étranger, et l’attrait de la Russie au business étranger, fatigué par les turbulences de l’économie mondiale. Il s’agit des libéraliser l’économie, de renforcer la régulation anti monopole, d’éliminer les barrières administratives qui restent.
Le premier-ministre russe Vladimir Poutine, qui a donné vendredi le ton à ce forum, a laissé entendre que bien que le bas de la crise semble déjà dépassé, le pouvoir exécutif ne tolérera aucun relâche, ne permettra pas de suivre le courant.
Il serait erroné de croire que le pire soit déjà révolu. On ne peut pas avancer en comptant toujours sur « le vent en poupe » de l’économie mondiale. Il faut s’attaquer aujourd’hui aux problèmes systémiques, ayant engendré la crise. Nous devons en tirer des enseignements sérieux. Durant la crise, la Russie a senti à pleine échelle les revers de la diversification insuffisante de son économie, de la faiblesse de son système financier et des manques de l’infrastructure.
Pour moderniser l’économie, l’Etat se propose de s’appuyer sur les investissements privés. Les fonctionnaires du gouvernement ont expliqué à Sotchi les mesures qu’ils envisagent de prendre pour stimuler les hommes d’affaires nationaux à investir en Russie, plutôt qu’à l’étranger, et l’attrait de la Russie au business étranger, fatigué par les turbulences de l’économie mondiale. Il s’agit des libéraliser l’économie, de renforcer la régulation anti monopole, d’éliminer les barrières administratives qui restent.
Il a également été déclaré à Sotchi que le régime national pour les bailleurs de fonds étrangers en Russie ne sera pas révisé, malgré la priorité évidente du soutien du busines national. Vladimir Poutine a une nouvelle fois rappelé que les conditions de travail des compagnies russes à l’étranger étaient pires que celles des compagnies étrangères en Russie.
Des terrains de négociations et de contacts d’affaires entre les participants ont été organisés dans le cadre de ce forum. Bien que la crise de l’économie mondiale se soit répercutée sur le volume des contrats signés, les invités étrangers ont été cette année plus nombreux que l’année dernière, ce qui témoigne de l’accroissement de l’intérêt pour la Russie, dont une des priorités de la stratégie économique est de figurer parmi les leaders mondiaux en matière d’investissements. Au cours du premier semestre de cette année, la Russie a attiré 17 milliards de dollars d’investissements étrangers. A la veille du forum, les experts de l’ONU ont porté la Russie sur la liste des 5 premiers bénéficiaires d’investissements directs. Les capitaines du business russe ont confirmé à Sotchi qu’ils étaient prêts à coopérer dans ce domaine avec leurs collègues étrangers, en tout premier lieu dans le développement de l’infrastructure de transports et d’énergie, de télécommunications et de télévision numérique. Le projet de construction de l’infrastructure pour le sommet de coopération économique Asie- Pacifique à Vladivostok en 2O12 semble très attractif pour le capital étranger. L’ampleur de la construction des sites pour les Jeux Olympiques d’hiver 2O14 a donné aux participants étrangers une idée du coefficient de capital du marché russe.
Des terrains de négociations et de contacts d’affaires entre les participants ont été organisés dans le cadre de ce forum. Bien que la crise de l’économie mondiale se soit répercutée sur le volume des contrats signés, les invités étrangers ont été cette année plus nombreux que l’année dernière, ce qui témoigne de l’accroissement de l’intérêt pour la Russie, dont une des priorités de la stratégie économique est de figurer parmi les leaders mondiaux en matière d’investissements. Au cours du premier semestre de cette année, la Russie a attiré 17 milliards de dollars d’investissements étrangers. A la veille du forum, les experts de l’ONU ont porté la Russie sur la liste des 5 premiers bénéficiaires d’investissements directs. Les capitaines du business russe ont confirmé à Sotchi qu’ils étaient prêts à coopérer dans ce domaine avec leurs collègues étrangers, en tout premier lieu dans le développement de l’infrastructure de transports et d’énergie, de télécommunications et de télévision numérique. Le projet de construction de l’infrastructure pour le sommet de coopération économique Asie- Pacifique à Vladivostok en 2O12 semble très attractif pour le capital étranger. L’ampleur de la construction des sites pour les Jeux Olympiques d’hiver 2O14 a donné aux participants étrangers une idée du coefficient de capital du marché russe.