La situation en Ingouchie et en Tchétchénie est loin de la paix et de l’accalmie mais il est possible qu’elle s’améliore, a dit aujourd’hui à Moscou le Commissaire du Conseil de l’Europe pour les droits de l’homme Thomas Hammarberg.
Selon Hammarberg, le terrorisme et la baisse du niveau de vie des habitants sont à l’origine de l’instabilité dans les deux républiques. L’assassinat en juillet en Ingouchie de Natalia Estemirova ayant défendu les droits de l’homme a semé la peur parmi les ONG ayant rendu impossibles leurs activités en Tchétchénie. Les autorités devraient contribuer au décèlement au plus vite de ce genre de crimes. Le Commissaire européen a hautement apprécié le rôle du Comité d’enquête du Parquet de Russie.
Thomas Hammarberg a indiqué que la pauvreté, le chômage, les problèmes économiques et sociaux, l’immense quantité de portés disparus, l’absence de progrès dans le décèlement des crimes se répercutaient négativement sur la situation dans le domaine des droits de l’homme dans les deux républiques. Cependant, le Commissaire européen a salué l’approche du président d’Ingouchie Younous-Bek Evkourov des organisations des droits de l’homme ayant dit qu’il attendait une tendance analogue de la Tchétchénie. Hammarberg a souligné que la lutte contre le terrorisme n’excluait pas la lutte pour les droits de l’homme. Je suis adversaire résolu du terrorisme. Il est nécessaire d’observer les droits de l’homme lors des opérations antiterroristes », a déclaré Thomas Hammarberg.
Les attentats sapent les valeurs que nous préconisons au Conseil de l’Europe : les droits de l’homme, le droit à la vie sans peur. Les droits de l’homme et la lutte contre le terrorisme ne sont pas incompatibles. Par contre, ils se complètent, a dit le Commissaire du Conseil de l’Europe pour les droits de l’homme.
Selon Hammarberg, le terrorisme et la baisse du niveau de vie des habitants sont à l’origine de l’instabilité dans les deux républiques. L’assassinat en juillet en Ingouchie de Natalia Estemirova ayant défendu les droits de l’homme a semé la peur parmi les ONG ayant rendu impossibles leurs activités en Tchétchénie. Les autorités devraient contribuer au décèlement au plus vite de ce genre de crimes. Le Commissaire européen a hautement apprécié le rôle du Comité d’enquête du Parquet de Russie.
Thomas Hammarberg a indiqué que la pauvreté, le chômage, les problèmes économiques et sociaux, l’immense quantité de portés disparus, l’absence de progrès dans le décèlement des crimes se répercutaient négativement sur la situation dans le domaine des droits de l’homme dans les deux républiques. Cependant, le Commissaire européen a salué l’approche du président d’Ingouchie Younous-Bek Evkourov des organisations des droits de l’homme ayant dit qu’il attendait une tendance analogue de la Tchétchénie. Hammarberg a souligné que la lutte contre le terrorisme n’excluait pas la lutte pour les droits de l’homme. Je suis adversaire résolu du terrorisme. Il est nécessaire d’observer les droits de l’homme lors des opérations antiterroristes », a déclaré Thomas Hammarberg.
Les attentats sapent les valeurs que nous préconisons au Conseil de l’Europe : les droits de l’homme, le droit à la vie sans peur. Les droits de l’homme et la lutte contre le terrorisme ne sont pas incompatibles. Par contre, ils se complètent, a dit le Commissaire du Conseil de l’Europe pour les droits de l’homme.
Thomas Hammarberg a promis de formuler ses initiatives dans le rapport dont la version préalable sera soumise aussitôt à l’examen des autorités russes. Le Commissaire européen reviendra en décembre en Russie pour examiner ces problèmes en détail.
