Les ministres examineront l'état de l'économie mondiale et régionale, la réforme des institutions financières internationales. La Chine, l'Inde et le Brésil sont les premiers intéressés par la réforme du FMI et de la BM qui permettra d'augmenter leur quote-part dans ces institutions, selon lui.
"Notre position est neutre, parce que notre quote-part restera la même ou diminuera quelque peu", "nous ne perdons et n'acquérons presque rien pendant cette réforme, mais il importe de conserver l'équilibre des forces et la légitimité de ces institutions", a-t-il précisé. Il faut réformer ces institutions pour tenir compte "du nouveau partage des forces dans l'économie mondiale et utiliser efficacement le potentiel des institutions financières internationales", a conclu le responsable russe.
"La voix du BRIC a gagné en puissance, surtout après le sommet du BRIC. Le fait que le secrétaire d'État américain au Trésor Timothy Geithner a l'intention d'assister à la rencontre londonienne du BRIC en est la preuve", a ajouté le responsable russe.