Le Président de la Fédération de Russie Dmitri Medvedev s'est rencontré avec la chancelière allemande Angela Merkel dans sa résidence Botcharov Routchei non loin de Sotchi, ville-station balnéaire sur la mer Noire.
Certes, cette rencontre attire l'attention, avant tout, compte tenu de l’importance économique et politique de la Russie et de l'Allemagne dans l'arène internationale, note notre observateur Vladimir Viktorov. Surtout, dans les conditions de la crise globale. Cependant, même un tel fond complexe n'a pas empêché le président russe de maintenir un état d'esprit optimiste des négociations et d’exprimer sa certitude en ce qui concerne les perspectives favorables du développement ultérieur des relations bilatérales :
Maintenant, on traverse une période difficile, il y a divers changements sur le marché. Mais je voudrais noter un fait positif, que j’ai appris avec plaisir aujourd'hui – l'économie allemande a commencé à se rétablir. Et cela, assurément, est un résultat de l'activité du gouvernement. Nous aussi, nous travaillons beaucoup pour que l'économie sorte de l'état de récession. Je pense que, en affermissant nos liens bilatéraux stratégiques, les échanges économiques, nous pourrions aider nos économies, mais, donc nos citoyens, à surmonter les conséquences de cette dure crise globale pour en sortir plus forts et mieux préparés.
Pendant la conférence de presse à l’issue des négociations, les deux leaders se sont dits prêts à développer la coopération. Dmitri Medvedev a remarqué, en particulier, que la Russie a l'intention de continuer la réalisation des grands projets énergétiques conjoints, comme, par exemple, le gazoduc North Stream. Selon le chef de l'État russe, des actions conjointes de ce genre aident à surmonter les conséquences de la crise financière mondiale. À propos, les données statistiques concrètes en témoignent déjà. Au cours de cette année, malgré la crise, le volume des investissements mutuels entre la Fédération de Russie et la RFA grandit.
Certes, cette rencontre attire l'attention, avant tout, compte tenu de l’importance économique et politique de la Russie et de l'Allemagne dans l'arène internationale, note notre observateur Vladimir Viktorov. Surtout, dans les conditions de la crise globale. Cependant, même un tel fond complexe n'a pas empêché le président russe de maintenir un état d'esprit optimiste des négociations et d’exprimer sa certitude en ce qui concerne les perspectives favorables du développement ultérieur des relations bilatérales :
Maintenant, on traverse une période difficile, il y a divers changements sur le marché. Mais je voudrais noter un fait positif, que j’ai appris avec plaisir aujourd'hui – l'économie allemande a commencé à se rétablir. Et cela, assurément, est un résultat de l'activité du gouvernement. Nous aussi, nous travaillons beaucoup pour que l'économie sorte de l'état de récession. Je pense que, en affermissant nos liens bilatéraux stratégiques, les échanges économiques, nous pourrions aider nos économies, mais, donc nos citoyens, à surmonter les conséquences de cette dure crise globale pour en sortir plus forts et mieux préparés.
Pendant la conférence de presse à l’issue des négociations, les deux leaders se sont dits prêts à développer la coopération. Dmitri Medvedev a remarqué, en particulier, que la Russie a l'intention de continuer la réalisation des grands projets énergétiques conjoints, comme, par exemple, le gazoduc North Stream. Selon le chef de l'État russe, des actions conjointes de ce genre aident à surmonter les conséquences de la crise financière mondiale. À propos, les données statistiques concrètes en témoignent déjà. Au cours de cette année, malgré la crise, le volume des investissements mutuels entre la Fédération de Russie et la RFA grandit.
Les deux leaders ont confirmé aussi la volonté de mener un dialogue sur les problèmes actuels, également à l'échelle internationale. Dmitri Medvedev a déclaré que la Russie soutenait l'initiative de l'Allemagne concernant la charte économique sur la sortie de la crise. La poursuite des consultations russo-allemandes sur les questions économiques devient de plus en plus actuelle en prévision du sommet du G20 dans la ville américaine de Pittsburgh, — a souligné le président de Russie.
Assurément, il est important que les participants de la rencontre aient pu trouver un langage commun pendant la discussion des problèmes si aigus aujourd'hui, comme les programmes nucléaires de la République Démocratique Populaire de Corée et de l'Iran. Selon 'Angela Merkel, la communauté internationale peut négocier avec Téhéran à partir d’une position commune. À Moscou, on partage une telle approche vis-à-vis du programme nucléaire nord-coréen aussi. Les deux leaders sont certains qu’il faut renforcer la lutte contre le terrorisme, notamment compte tenu des événements inquiétants dans le Caucase du Nord.
On a réussi à faire pas mal de choses ces derniers temps, a noté Dmitri Medvedev, évoquant les relations bilatérales. Nous devons aller plus loin. La Russie et l’Allemagne sont certaines : la crise sera surmontée, la coopération est dans l’intérêt des deux parties.
Assurément, il est important que les participants de la rencontre aient pu trouver un langage commun pendant la discussion des problèmes si aigus aujourd'hui, comme les programmes nucléaires de la République Démocratique Populaire de Corée et de l'Iran. Selon 'Angela Merkel, la communauté internationale peut négocier avec Téhéran à partir d’une position commune. À Moscou, on partage une telle approche vis-à-vis du programme nucléaire nord-coréen aussi. Les deux leaders sont certains qu’il faut renforcer la lutte contre le terrorisme, notamment compte tenu des événements inquiétants dans le Caucase du Nord.
On a réussi à faire pas mal de choses ces derniers temps, a noté Dmitri Medvedev, évoquant les relations bilatérales. Nous devons aller plus loin. La Russie et l’Allemagne sont certaines : la crise sera surmontée, la coopération est dans l’intérêt des deux parties.