"Je quitte aujourd'hui Tallinn à destination de Minsk. Je n'ai aucune proposition et je n'ai pas l'intention d'y signer des documents. J'y étudierai les possibilités d'améliorer les relations entre les Etats-Unis et la Biélorussie", a indiqué M.Gordon devant les journalistes.
"Ces dernières années, c'était impossible, nous avions des divergences concernant la démocratie, les droits de l'homme et la politique extérieure. Aucun responsable américain d'un si haut rang n'est allé dans ce pays depuis au moins dix ans", a noté M.Gordon.
"Mais nous avons constaté des changements positifs en Biélorussie, tout comme nos amis européens. Cela concerne les détenus politiques et d'une certaine manière, les ONG et la presse", a-t-il ajouté.
Les Etats-Unis se félicitent aussi de la décision biélorusse de ne pas reconnaître l'indépendance de l'Ossétie du sud et de l'Abkhazie, a conclu M.Gordon.