A l’occasion de l’anniversaire des événements dramatiques en Ossétie du Sud, le président russe Dmitri Medvedev a adressé un message à son homologue français Nicolas Sarkozy, annonce le service de presse du Kremlin.
Dmitri Medvedev a souligné que la participation active du président de France avait joué un rôle important dans la résorption de la crise osséto-géorgienne et indiqué qu’il attribuait une importance particulière à la poursuite du dialogue relatif au maintien de la stabilité dans la région. Rappelons que lorsque les forces géorgiennes ont agressé l’Ossétie du Sud dans la nuit du 8 août 2OO8, la Russie a introduit ses troupes pour protéger les citoyens de la république, dont beaucoup avaient la citoyenneté russe. Après 5 jours de combats, les forces géorgiennes ont été repoussées de la région.
L’UE était alors présidée par la France, et le président Nicolas Sarkozy s’est rendu à 2 reprises à Moscou pour mener des négociations. En septembre, il a signé avec le président Dmitri Medvedev un accord de règlement de la situation, connu comme « le plan Medvedev- Sarkozy ». Cet accord demeure en fait le seul « code de conduite » dans cette région de la Transcaucasie, stipule le message du président russe. Il n’y a pas longtemps, le chef de la diplomatie russe Serguei Lavrov donnait la même appréciation du plan « Medvedev- Sarkozy ».
Dmitri Medvedev a souligné que la participation active du président de France avait joué un rôle important dans la résorption de la crise osséto-géorgienne et indiqué qu’il attribuait une importance particulière à la poursuite du dialogue relatif au maintien de la stabilité dans la région. Rappelons que lorsque les forces géorgiennes ont agressé l’Ossétie du Sud dans la nuit du 8 août 2OO8, la Russie a introduit ses troupes pour protéger les citoyens de la république, dont beaucoup avaient la citoyenneté russe. Après 5 jours de combats, les forces géorgiennes ont été repoussées de la région.
L’UE était alors présidée par la France, et le président Nicolas Sarkozy s’est rendu à 2 reprises à Moscou pour mener des négociations. En septembre, il a signé avec le président Dmitri Medvedev un accord de règlement de la situation, connu comme « le plan Medvedev- Sarkozy ». Cet accord demeure en fait le seul « code de conduite » dans cette région de la Transcaucasie, stipule le message du président russe. Il n’y a pas longtemps, le chef de la diplomatie russe Serguei Lavrov donnait la même appréciation du plan « Medvedev- Sarkozy ».
Présidant l’Union Européenne au moment de l’agression géorgienne, Nicolas Sarkozy a fait preuve de courage et de responsabilité, a montré les qualités d’homme politique de dimension globale. Le plan « Medvedev- Sarkozy » demeure un grand facteur de stabilisation dans la région, a noté le ministre russe.
Le message du président Medvedev stipule que la Russie s’est acquittée en octobre 2OO8 des engagements qu’elle avait contractés en vertu de ces documents. L’UE accomplit également les accords retenus, et la Russie est grosso modo satisfaite des activités de la Mission de surveillance de l’UE en Géorgie. Cependant, la nouvelle situation géopolitique, qui s’est créée en Transcaucasie à la suite de la politique de Saakachvili, ne permet plus d’ignorer l’existence indépendante de deux Etats nouveaux. L’objectif numéro un aujourd’hui est de garantir une paix solide et la sécurité en Transcaucasie dans l’intérêt de tous les peuples qui y vivent.
Dans ce contexte, force est d’obtenir la signature au plus vite des accords juridiquement contraignants ses problèmes manu militari. sur le non-recours à la force entre la Géorgie, d’une part, et l’Ossétie du Sud et l’Abkhazie, de l’autre. Je suis certain, écrit Dmitri Medvedev, que seule la création de cette base juridique permettra d’éviter la recrudescence des violences et la récidive du drame d’il y a un an. Le président russe note la nécessité pour tous les pays de s’abstenir de livraisons d’armes et de munitions à la Géorgie. La communauté internationale devrait faire preuve de responsabilité solidaire pour que la direction géorgienne ne se berce pas d’illusions de pouvoir régler impunément ses problèmes manu militari.
Le message du président Medvedev stipule que la Russie s’est acquittée en octobre 2OO8 des engagements qu’elle avait contractés en vertu de ces documents. L’UE accomplit également les accords retenus, et la Russie est grosso modo satisfaite des activités de la Mission de surveillance de l’UE en Géorgie. Cependant, la nouvelle situation géopolitique, qui s’est créée en Transcaucasie à la suite de la politique de Saakachvili, ne permet plus d’ignorer l’existence indépendante de deux Etats nouveaux. L’objectif numéro un aujourd’hui est de garantir une paix solide et la sécurité en Transcaucasie dans l’intérêt de tous les peuples qui y vivent.
Dans ce contexte, force est d’obtenir la signature au plus vite des accords juridiquement contraignants ses problèmes manu militari. sur le non-recours à la force entre la Géorgie, d’une part, et l’Ossétie du Sud et l’Abkhazie, de l’autre. Je suis certain, écrit Dmitri Medvedev, que seule la création de cette base juridique permettra d’éviter la recrudescence des violences et la récidive du drame d’il y a un an. Le président russe note la nécessité pour tous les pays de s’abstenir de livraisons d’armes et de munitions à la Géorgie. La communauté internationale devrait faire preuve de responsabilité solidaire pour que la direction géorgienne ne se berce pas d’illusions de pouvoir régler impunément ses problèmes manu militari.
