Le nouveau secrétaire général de l’OTAN Anders Fog Rasmussen a traité le développement des relations avec la Russie une de ses priorités, ayant déclaré en même temps l’intention de l’élargissement de l’alliance vers l’est. Ces propos contradictoires ont été diffusés lundi lors de la première conférence de presse de l’ex-premier ministre danois à Bruxelles. Il est entré en fonction aujourd’hui.
Anders Fog Rasmussen a dit qu’il faut mettre en place un vrai partenariat entre de l’OTAN et la Russie. Selon lui, l’OTAN n’est pas un ennemi de la Russie et il veut le prouver. Il trouve que « les différends, liés surtout à la situation dans l’espace postsoviétique, ne doivent pas gâter les relations entre l’alliance et la Russie». Ils ont des intérêts communs en matière de l’assurance de sécurité globale. Voilà ce qu’a déclaré dans une interview à la Voix de la Russie, le vice-directeur de l’institut des Etats-Unis et du Canada Pavel Zolotarev.
Il n’y a rien de nouveau dans les paroles du nouveau secrétaire général de l’OTAN Anders Fog Rasmussen. Si on analyse les propos des chefs de l’OTAN précédents, on verra les coïncidences, mis à part quelques petits changements dus au moment présent. Les problèmes dans les relations bilatérales, ce sont l’espace postsoviétique, l’élargissement de l’alliance. D’ailleurs, ces deux questions s’entrecoupent. Les autres questions se rapportent à la zone d’intérêts communs. Mais l’espace postsoviétique est aussi une zone d’intérêts communs. L’Occident a trop souvent agi en fonction de répartition des zones d’influence et non de l’assurance de sécurité, a noté Pavel Zolotarev.
L’alliance nord-atlantique a pratiquement soutenu l’agression géorgienne contre l’Ossétie du sud, et cette position est maintenue. Heureusement qu’au sein de l’OTAN on trouve que la Géorgie et l’Ukraine ne correspondent pas aux critères qui leur permettraient d’entrer à l’alliance.
Anders Fog Rasmussen a dit qu’il faut mettre en place un vrai partenariat entre de l’OTAN et la Russie. Selon lui, l’OTAN n’est pas un ennemi de la Russie et il veut le prouver. Il trouve que « les différends, liés surtout à la situation dans l’espace postsoviétique, ne doivent pas gâter les relations entre l’alliance et la Russie». Ils ont des intérêts communs en matière de l’assurance de sécurité globale. Voilà ce qu’a déclaré dans une interview à la Voix de la Russie, le vice-directeur de l’institut des Etats-Unis et du Canada Pavel Zolotarev.
Il n’y a rien de nouveau dans les paroles du nouveau secrétaire général de l’OTAN Anders Fog Rasmussen. Si on analyse les propos des chefs de l’OTAN précédents, on verra les coïncidences, mis à part quelques petits changements dus au moment présent. Les problèmes dans les relations bilatérales, ce sont l’espace postsoviétique, l’élargissement de l’alliance. D’ailleurs, ces deux questions s’entrecoupent. Les autres questions se rapportent à la zone d’intérêts communs. Mais l’espace postsoviétique est aussi une zone d’intérêts communs. L’Occident a trop souvent agi en fonction de répartition des zones d’influence et non de l’assurance de sécurité, a noté Pavel Zolotarev.
L’alliance nord-atlantique a pratiquement soutenu l’agression géorgienne contre l’Ossétie du sud, et cette position est maintenue. Heureusement qu’au sein de l’OTAN on trouve que la Géorgie et l’Ukraine ne correspondent pas aux critères qui leur permettraient d’entrer à l’alliance.
On ne peut que saluer la déclaration de Rasmussen déclaré que « les différends ne doivent pas gâter les relations entre l’alliance et la Russie ». Il s’agit de la lutte contre la piraterie et le terrorisme, du règlement de la situation en Afghanistan, de la lutte contre la prolifération des ADM. Mais l’OTAN ne doit pas oublier que l’élargissement vers l’est est perçu par la Russie comme une menace à sa sécurité.
Moscou espère que le redémarrage des relations entre la Russie et les Etats-Unis se répercutera sur la politique de l’OTAN, compte tenu d’un rôle important de Washington au sein de l’alliance.
Moscou espère que le redémarrage des relations entre la Russie et les Etats-Unis se répercutera sur la politique de l’OTAN, compte tenu d’un rôle important de Washington au sein de l’alliance.