Dans les parlements des anciens de l’UE on reconnait la nécessité d’élaborer une nouvelle architecture de sécurité euro-atlantique. Le chef adjoint du comité pour les Affaires internationales au Conseil de Fédération Vassili Likhatchev le considère comme l’un des résultats majeurs dans les activités politiques extérieures de la chambre haute du parlement russe au cours de la session de printemps.
La diplomatie parlementaire joue un rôle très actif en vue de promouvoir l’idée du président russe concernant la conception d’un nouveau système de sécurité dans l’espace euro-atlantique, a relevé Vassili Likhatchev, interrogé par la « Voix de la Russie ». On obtient que parmi les sénateurs européens, nos partenaires, l’intérêt grandit pour cette proposition, formulée par Dimitri Medvedev en été dernier à Berlin. Moscou voit ainsi les grandes dispositions du nouveau Traité de sécurité européen: respect de la souveraineté, de l’indépendance politique des Etats, garanties de sécurité égale pour tous les pays, absence de blocs militaires et refus de recourir à la force. Certains en Occident croient cependant qu’il suffira de réformer à cet effet l’Organisation de sécurité et de coopération en Europe (OSCE). M. Likhatchev est persuadé que les nouvelles réalités dictent la nécessité de mettre en place une nouvelle conception de sécurité euro-atlantique, car l’OSCE n’embrasse pas tous les acteurs en Europe.
Je peux dire qu’à ce jour nous avons réussi à faire réfléchir les Européens au besoin d’apporter de sérieux correctifs au système de sécurité européen, au refus du monopole de l’OTAN dans le terrain de l’UE, dit M. Likhatchev. Nous avons su faire valoir les principes de sécurité indivise, ceux du droit international contemporain. Nous trouvons un appui en Allemagne, France, pays de Benelux. Mes contacts personnels avec des parlementaires européens font apparaître que cette idée ne leur est plus étrangère. Et avec le temps nous comptons étendre ce soutien politique au sein des parlements d’Europe.
La diplomatie parlementaire joue un rôle très actif en vue de promouvoir l’idée du président russe concernant la conception d’un nouveau système de sécurité dans l’espace euro-atlantique, a relevé Vassili Likhatchev, interrogé par la « Voix de la Russie ». On obtient que parmi les sénateurs européens, nos partenaires, l’intérêt grandit pour cette proposition, formulée par Dimitri Medvedev en été dernier à Berlin. Moscou voit ainsi les grandes dispositions du nouveau Traité de sécurité européen: respect de la souveraineté, de l’indépendance politique des Etats, garanties de sécurité égale pour tous les pays, absence de blocs militaires et refus de recourir à la force. Certains en Occident croient cependant qu’il suffira de réformer à cet effet l’Organisation de sécurité et de coopération en Europe (OSCE). M. Likhatchev est persuadé que les nouvelles réalités dictent la nécessité de mettre en place une nouvelle conception de sécurité euro-atlantique, car l’OSCE n’embrasse pas tous les acteurs en Europe.
Je peux dire qu’à ce jour nous avons réussi à faire réfléchir les Européens au besoin d’apporter de sérieux correctifs au système de sécurité européen, au refus du monopole de l’OTAN dans le terrain de l’UE, dit M. Likhatchev. Nous avons su faire valoir les principes de sécurité indivise, ceux du droit international contemporain. Nous trouvons un appui en Allemagne, France, pays de Benelux. Mes contacts personnels avec des parlementaires européens font apparaître que cette idée ne leur est plus étrangère. Et avec le temps nous comptons étendre ce soutien politique au sein des parlements d’Europe.
