Il est peu probable que les militaires qui ont fomenté le coup d'Etat survenu au Honduras prêtent l'oreille à l'avis de la communauté internationale et restituent le pouvoir au président hondurien légalement élu, a déclaré lundi à RIA Novosti le sénateur russe Mikhaïl Marguelov.
"Il est difficile de dire si les militaires honduriens reculeront aujourd'hui car après le putsch de 1972, ils n'ont rendu le pouvoir aux autorités civiles que dix ans plus tard", a rappelé M.Marguelov, président du Comité pour les Affaires internationales du Conseil de la Fédération (chambre haute du parlement russe).
Et d'ajouter que le coup d'Etat au Honduras avait été condamné par plusieurs pays d'Amérique latine, l'Union européenne (UE), les Etats-Unis et le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon intervenant au nom de la communauté internationale.
"Il est difficile de dire si les militaires honduriens reculeront aujourd'hui car après le putsch de 1972, ils n'ont rendu le pouvoir aux autorités civiles que dix ans plus tard", a rappelé M.Marguelov, président du Comité pour les Affaires internationales du Conseil de la Fédération (chambre haute du parlement russe).
Et d'ajouter que le coup d'Etat au Honduras avait été condamné par plusieurs pays d'Amérique latine, l'Union européenne (UE), les Etats-Unis et le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon intervenant au nom de la communauté internationale.
Selon le sénateur, l'Assemblée générale de l'ONU se penchera prochainement sur les événements au Honduras.
