Les délégués au sommet de l’OCS qui s’est ouvert dans l’Oural signaleront dans la Déclaration de Ekaterinbourg la tendance à la multipolarité et l’importance de l’aspect régional dans le règlement des problèmes globaux.
Qui plus est, les leaders des pays membres de l’OCS : Russie, Chine, Kazakhstan, Tadjikistan et Ouzbékistan dresseront le bilan des efforts déployés en 2008 et examineront les problèmes économiques sérieux. Les délégués au forum se rendent à Ekaterinbourg depuis dimanche. Ils procèdent aujourd’hui aux pourparlers bipartites. La séance plénière de l’OCS aura lieu demain. Y participeront les leaders afghan, iranien et pakistanais, le premier ministre indien, le représentant spécial mongol et les délégués des institutions internationales : ONU, CEI, Organisation du Traité sur la sécurité collective et Communauté économique eurasienne. Au micro le chef du projet Info-OCS Denis Tiourine :
L’OCS joue un rôle de plus en plus important sur l’échiquier international, plusieurs pays cherchent à y adhérer et l’OCS doit y réagir. La Biélorussie et Sri Lanka bénéficieront, le plus probablement, de statut d’Etats partenaires. L’OCS pourra jouer un rôle plus important dans le règlement du problème nord-coréen ainsi que dans les processus liés à la crise économique. Les leaders des pays de l’OCS entendent lutter conjointement contre les tendances négatives dans l’économie, développer et raffermir les liens économiques en instituant les structures en vue de faire plus efficacement face à la crise. Les pays membres de l’OCS décideront, peut-être, de former un fonds d’investissements. Ils entendent intensifier les liens humanitaires et culturels.
Les pays membres accueilleront ans aucun doute positivement l’initiative russe de fonder l’Université des pays de l’OCS. Les pays membres examineront la situation en Asie centrale et en Afghanistan, notamment dans le domaine de la lutte contre le narcotrafic. Les délégués au sommet envisageront la stabilité et la sécurité dans la sphère d’activité de l’OCS. Les présidents des six pays entendent signer la Convention antiterroriste qui développerait son fondement normatif compte tenu des impératifs du temps, de nouveaux défis et menaces.
Qui plus est, les leaders des pays membres de l’OCS : Russie, Chine, Kazakhstan, Tadjikistan et Ouzbékistan dresseront le bilan des efforts déployés en 2008 et examineront les problèmes économiques sérieux. Les délégués au forum se rendent à Ekaterinbourg depuis dimanche. Ils procèdent aujourd’hui aux pourparlers bipartites. La séance plénière de l’OCS aura lieu demain. Y participeront les leaders afghan, iranien et pakistanais, le premier ministre indien, le représentant spécial mongol et les délégués des institutions internationales : ONU, CEI, Organisation du Traité sur la sécurité collective et Communauté économique eurasienne. Au micro le chef du projet Info-OCS Denis Tiourine :
L’OCS joue un rôle de plus en plus important sur l’échiquier international, plusieurs pays cherchent à y adhérer et l’OCS doit y réagir. La Biélorussie et Sri Lanka bénéficieront, le plus probablement, de statut d’Etats partenaires. L’OCS pourra jouer un rôle plus important dans le règlement du problème nord-coréen ainsi que dans les processus liés à la crise économique. Les leaders des pays de l’OCS entendent lutter conjointement contre les tendances négatives dans l’économie, développer et raffermir les liens économiques en instituant les structures en vue de faire plus efficacement face à la crise. Les pays membres de l’OCS décideront, peut-être, de former un fonds d’investissements. Ils entendent intensifier les liens humanitaires et culturels.
Les pays membres accueilleront ans aucun doute positivement l’initiative russe de fonder l’Université des pays de l’OCS. Les pays membres examineront la situation en Asie centrale et en Afghanistan, notamment dans le domaine de la lutte contre le narcotrafic. Les délégués au sommet envisageront la stabilité et la sécurité dans la sphère d’activité de l’OCS. Les présidents des six pays entendent signer la Convention antiterroriste qui développerait son fondement normatif compte tenu des impératifs du temps, de nouveaux défis et menaces.