Les familles des disparus de l'Airbus-330-200 d'Air France qui s'est abîmé lundi dans l'Atlantique, seront soumis à des prélèvements ADN, a annoncé mercredi à Rio de Janeiro le ministre brésilien de la Défense Nelson Jobim.
"Si nous retrouvons les corps des disparus, les échantillons d'ADN permettront de les identifier", a indiqué le ministre.
Après avoir décollé dimanche à 22h00 GMT de Rio de Janeiro, l'Airbus A330 avec 228 personnes à bord (216 passagers et 12 navigants) devait se poser à l'aéroport parisien Roissy à 09h10 GMT. L'avion a disparu des écrans radars trois heures et demie après le décollage. Selon Air France, l'avion pourrait avoir été foudroyé en traversant une zone de turbulences violentes appelée "pot-au-noir", même si plusieurs experts contestent cette version.
Mardi, l'armée brésilienne a annoncé avoir repéré des fragments de l'avion à 650 km au nord-est du Brésil. L'État-major général français a confirmé ces informations. Mercredi, les avions militaires brésiliens ont découvert d'autres débris pouvant appartenir à l'Airbus-330.
"Si nous retrouvons les corps des disparus, les échantillons d'ADN permettront de les identifier", a indiqué le ministre.
Après avoir décollé dimanche à 22h00 GMT de Rio de Janeiro, l'Airbus A330 avec 228 personnes à bord (216 passagers et 12 navigants) devait se poser à l'aéroport parisien Roissy à 09h10 GMT. L'avion a disparu des écrans radars trois heures et demie après le décollage. Selon Air France, l'avion pourrait avoir été foudroyé en traversant une zone de turbulences violentes appelée "pot-au-noir", même si plusieurs experts contestent cette version.
Mardi, l'armée brésilienne a annoncé avoir repéré des fragments de l'avion à 650 km au nord-est du Brésil. L'État-major général français a confirmé ces informations. Mercredi, les avions militaires brésiliens ont découvert d'autres débris pouvant appartenir à l'Airbus-330.