La Finlande évaluera les risques écologiques du projet de gazoduc Nord Stream avant juillet, a annoncé mercredi le premier ministre finlandais Matti Vanhanen à l'issue d'une rencontre avec son homologue russe Vladimir Poutine, en visite à Helsinki.
Les autorités finlandaises doivent obtenir le consentement de plusieurs ministères et départements concernant la réalisation du projet. "Il s'agit notamment d'un document attestant le respect de la Loi sur la zone économique. Il doit être adopté par le Conseil d'État finlandais en septembre ou en octobre, plutôt fin septembre", a ajouté M.Vanhanen.
La Finlande est l'un des cinq pays (Allemagne, Danemark, Finlande, Russie et Suède) dont le consentement est nécessaire pour entamer la construction du gazoduc Nord Stream, un itinéraire foncièrement nouveau pour l'exportation de gaz russe vers l'Europe (avant tout vers les marchés allemand, britannique, néerlandais, français et danois), qui contournera les pays de transit traditionnels. L'assistant du président russe Arkadi Dvorkovitch espère que ce pays pourrait approuver la pose du pipeline avant la fin de l'année.
Les autorités finlandaises doivent obtenir le consentement de plusieurs ministères et départements concernant la réalisation du projet. "Il s'agit notamment d'un document attestant le respect de la Loi sur la zone économique. Il doit être adopté par le Conseil d'État finlandais en septembre ou en octobre, plutôt fin septembre", a ajouté M.Vanhanen.
La Finlande est l'un des cinq pays (Allemagne, Danemark, Finlande, Russie et Suède) dont le consentement est nécessaire pour entamer la construction du gazoduc Nord Stream, un itinéraire foncièrement nouveau pour l'exportation de gaz russe vers l'Europe (avant tout vers les marchés allemand, britannique, néerlandais, français et danois), qui contournera les pays de transit traditionnels. L'assistant du président russe Arkadi Dvorkovitch espère que ce pays pourrait approuver la pose du pipeline avant la fin de l'année.