La Russie soutient l'intégrité territoriale de la Serbie sans aucun opportunisme, car il est impératif de respecter les normes du droit international, a déclaré vendredi le député russe Konstantin Kossatchev.
"Je suis certain que les sympathies de tous les Russes vont au peuple de la Serbie qui se trouve dans une situation très complexe. Il ne s'agit pas d'un soutien opportuniste, car les principes et les priorités défendus par le peuple serbe actuellement, coïncident avec ceux de la Russie. Les deux peuples estiment qu'il est primordial de respecter la primauté du droit international qui a été radicalement violé par les autorités du Kosovo (dont les dirigeants albanais ont proclamé, en février 2008, l'indépendance vis-à-vis de la république de Serbie)", a déclaré Konstantin Kossatchev, président du Comité pour les Affaires internationales de la Douma (chambre basse du parlement russe).
Selon le député russe, les problèmes de la situation économique kosovare sont d'une actualité brulante, le livre rappelant que tous les problèmes des relations entre les serbes et les Albanais kosovares n'étaient résolus avec un maximum de succès que lorsque l'économie du Kosovo se trouvait intégrée à celle de la Yougoslavie et de la Serbie.
"Je suis certain que les sympathies de tous les Russes vont au peuple de la Serbie qui se trouve dans une situation très complexe. Il ne s'agit pas d'un soutien opportuniste, car les principes et les priorités défendus par le peuple serbe actuellement, coïncident avec ceux de la Russie. Les deux peuples estiment qu'il est primordial de respecter la primauté du droit international qui a été radicalement violé par les autorités du Kosovo (dont les dirigeants albanais ont proclamé, en février 2008, l'indépendance vis-à-vis de la république de Serbie)", a déclaré Konstantin Kossatchev, président du Comité pour les Affaires internationales de la Douma (chambre basse du parlement russe).
Selon le député russe, les problèmes de la situation économique kosovare sont d'une actualité brulante, le livre rappelant que tous les problèmes des relations entre les serbes et les Albanais kosovares n'étaient résolus avec un maximum de succès que lorsque l'économie du Kosovo se trouvait intégrée à celle de la Yougoslavie et de la Serbie.
