"Nous sommes prêts à examiner les questions de la régulation anticrise, mais uniquement parallèlement à un débat sur les mesures protectionnistes européennes. Il s'agit là de notre position de principe", a indiqué le représentant du Kremlin.
M.Prikhodko n'a pas exclu que le sommet Russie-UE de Khabarovsk donne lieu à l'examen des mesures anticrise prises dans l'UE et en Russie sur leurs marchés respectifs.
Moscou, a rappelé le conseiller présidentiel, est souvent accusé d'appliquer des taxes à l'importation et à l'exportation pour les véhicules automobiles, le bois et d'autres marchandises.
"Nos collègues proposent de mettre sur pied un mécanisme de débat sur les différentes mesures de protection des marchés", a-t-il expliqué.