Une commission spéciale sera chargée de s’opposer aux tentatives de falsification de l’histoire. Le décret relatif à sa création a été signé aujourd’hui par le président Dmitri Medevedev. Moscou a plus d’une fois mis en garde la communauté internationale contre le caractère inadmissible des tentatives de révision et de déformation de l’histoire.
-La falsification des faits historiques est devenue ces derniers temps très à la mode en Ukraine et les États baltes. Rappelons que le président Youchenko a signé le décret sur la célébration de la Journée de l’Armée rebelle ukrainienne qui s’était battue aux côtés des divisions du Reich allemand. La tragédie du holodomor des années trente prend elle aussi une tonalité exclusivement antirusse. Les autorités se livrent aux falsifications de toute nature. Les experts notent que l’ampleur des falsifications croît d’année en année en Ukraine et dans les pays baltes. La Russie doit y réagir d’une manière objective, pense Viatcheslav Igrounov, directeur de l’Institut des études politiques et humanitaires :
-Les faits historiques sont manipulés par les forces différentes et les pays différents en cour de lutte politique. Il y va de l’acquittement des criminels. Dans ces conditions, la commission créée par le président devra avoir une vision objective de tous les faits de notre histoire. Sans oublier les pages tragiques, elle dira la vérité sur les réalisations héroïques du peuple soviétique qui a pu assurer la paix, la stabilité et la prospérité des démocraties.
- Aucun État n’a jusqu’ici tiré profit de la révision de l’histoire. L’Ukraine ou la Lettonie qui organisent les défilés des ex-légionnaires des troupes SS ne seront pas une exception à cette règle. A la demande de la Russie, le Conseil de Sécurité de l’ONU devra adopter la résolution qui condamne les tentatives de révision des résultats de la Seconde guerre mondiale.
-La falsification des faits historiques est devenue ces derniers temps très à la mode en Ukraine et les États baltes. Rappelons que le président Youchenko a signé le décret sur la célébration de la Journée de l’Armée rebelle ukrainienne qui s’était battue aux côtés des divisions du Reich allemand. La tragédie du holodomor des années trente prend elle aussi une tonalité exclusivement antirusse. Les autorités se livrent aux falsifications de toute nature. Les experts notent que l’ampleur des falsifications croît d’année en année en Ukraine et dans les pays baltes. La Russie doit y réagir d’une manière objective, pense Viatcheslav Igrounov, directeur de l’Institut des études politiques et humanitaires :
-Les faits historiques sont manipulés par les forces différentes et les pays différents en cour de lutte politique. Il y va de l’acquittement des criminels. Dans ces conditions, la commission créée par le président devra avoir une vision objective de tous les faits de notre histoire. Sans oublier les pages tragiques, elle dira la vérité sur les réalisations héroïques du peuple soviétique qui a pu assurer la paix, la stabilité et la prospérité des démocraties.
- Aucun État n’a jusqu’ici tiré profit de la révision de l’histoire. L’Ukraine ou la Lettonie qui organisent les défilés des ex-légionnaires des troupes SS ne seront pas une exception à cette règle. A la demande de la Russie, le Conseil de Sécurité de l’ONU devra adopter la résolution qui condamne les tentatives de révision des résultats de la Seconde guerre mondiale.
La Douma russe va bientôt examiner les modifications au Code pénal qui prévoient les sanctions plus lourdes pour la réhabilitation du nazisme. Les personnes qui s’en rendront coupables risquent une peine de prison de 3 à 5 ans ou une amende allant jusqu’à 500 000 roubles.