La Russie estime possible de sortir de l’impasse dans la situation qui s’est créée autour du Traité FCE. Les initiatives russes visent à réaliser cet objectif, a dit aujourd’hui à une conférence de presse le porte-parole du ministère russe des AE Andrei Nesterenko.
La Russie a suspendu sa participation au Traité FCE en 2007, les pays de l’OTAN signataires du Traité ayant refusé de ratifier sa version adaptée. La Russie a respecté unilatéralement les clauses du Traité. L’élargissement de l’OTAN vers l’Est ainsi que les projets de déployer les éléments du système ABM américain en Pologne et en Tchéquie entrent en contradiction avec le Traité FCE.
La Russie a avancé à la fin de la semaine dernière ses initiatives à Vienne. Elles visent à surmonter l’impasse surgie à cause du refus de l’OTAN de ratifier le Traité, a expliqué la veille le chef de la diplomatie russe Serguei Lavrov.
La Russie a suspendu sa participation au Traité FCE en 2007, les pays de l’OTAN signataires du Traité ayant refusé de ratifier sa version adaptée. La Russie a respecté unilatéralement les clauses du Traité. L’élargissement de l’OTAN vers l’Est ainsi que les projets de déployer les éléments du système ABM américain en Pologne et en Tchéquie entrent en contradiction avec le Traité FCE.
La Russie a avancé à la fin de la semaine dernière ses initiatives à Vienne. Elles visent à surmonter l’impasse surgie à cause du refus de l’OTAN de ratifier le Traité, a expliqué la veille le chef de la diplomatie russe Serguei Lavrov.
Moscou accorde une grande attention au projet russo-américain de décision sur le Traité FCE. Ce projet finalisé pourra contribuer à sortir de l’impasse, a déclaré Andrei Nesterenko.
Ce document suppose les démarches concrètes de la Russie en échange de promesses vagues de la part de l’OTAN sans aucune garantie. C’est là la lacune essentielle du document. Il convient de rendre le projet équilibré. Le document doit supposer les démarches réciproques des parties concernées. Il faut exclure les interprétations différentes ou l’échec des ententes intervenues, a souligné Andrei Nesterenko.
Il faut assurer les garanties au plus haut point fiables de la ratification du Traité adapté et lever les sous-niveaux territoriaux discriminatoires pour la Russie. Il faut poursuivre le dialogue russo-américain en concrétisant tous les jours le contenu du Traité à Vienne. Sa version finalisée pourrait être approuvée à la prochaine conférence extraordinaire des pays signataires du FCE en tant que document final.
Un document net qui permettrait de surmonter les divergences serait dans l’intérêt de tous les participants au FCE. La Russie estime que les autres Etats devraient participer aux pourparlers, notamment dans le cadre du Groupe consultatif conjoint.
Ce document suppose les démarches concrètes de la Russie en échange de promesses vagues de la part de l’OTAN sans aucune garantie. C’est là la lacune essentielle du document. Il convient de rendre le projet équilibré. Le document doit supposer les démarches réciproques des parties concernées. Il faut exclure les interprétations différentes ou l’échec des ententes intervenues, a souligné Andrei Nesterenko.
Il faut assurer les garanties au plus haut point fiables de la ratification du Traité adapté et lever les sous-niveaux territoriaux discriminatoires pour la Russie. Il faut poursuivre le dialogue russo-américain en concrétisant tous les jours le contenu du Traité à Vienne. Sa version finalisée pourrait être approuvée à la prochaine conférence extraordinaire des pays signataires du FCE en tant que document final.
Un document net qui permettrait de surmonter les divergences serait dans l’intérêt de tous les participants au FCE. La Russie estime que les autres Etats devraient participer aux pourparlers, notamment dans le cadre du Groupe consultatif conjoint.
