L’opposition géorgienne a engagé jeudi devant le parlement au centre de Tbilissi une manifestation de protestation illimitée en exigeant la démission du président Saakachvili.
Les adversaires de Saakachvili ont réussi à mobiliser un nombre record de leurs partisans. 120 mille personnes de toutes les régions du pays ont protesté sur la place centrale et dans les rues voisines. Selon Irakli Alassania, leader de l’Alliance pour la Géorgie en opposition aux autorités, ce meeting grandiose est une sorte de référendum ayant démontré que les Géorgiens ne faisaient plus confiance à Saakachvili.
L’actuel président doit démissionner, tel est le leitmotiv des déclarations de l’opposition. Au micro Nino Bourdjanadzé, ex-présidente du parlement ayant soutenu Saakachvili, qui est actuellement leader du parti « Développement démocratique de la Géorgie.
Les adversaires de Saakachvili ont réussi à mobiliser un nombre record de leurs partisans. 120 mille personnes de toutes les régions du pays ont protesté sur la place centrale et dans les rues voisines. Selon Irakli Alassania, leader de l’Alliance pour la Géorgie en opposition aux autorités, ce meeting grandiose est une sorte de référendum ayant démontré que les Géorgiens ne faisaient plus confiance à Saakachvili.
L’actuel président doit démissionner, tel est le leitmotiv des déclarations de l’opposition. Au micro Nino Bourdjanadzé, ex-présidente du parlement ayant soutenu Saakachvili, qui est actuellement leader du parti « Développement démocratique de la Géorgie.
Je ne le crois pas. Tant que je lui faisais confiance, j’étais à côté de lui et j’essayais de sauver ce pays. L’opposition insiste sur une manifestation pacifique conformément à la Constitution et aux normes démocratiques universellement reconnues.
Toute la Géorgie exige la démission de Mikhaïl Saakachvili, a dit au meeting Levan Gatchetchiladzé, l’un des leaders de l’opposition, ex-candidat à la présidence en 2008. Nous passons le micro à Zviad Dzidzigouri, leader du parti conservateur :
Saakachvili ne veut pas démissionner mais le peuple ne veut pas, quant à lui, qu’il dirige le pays. D’où la confrontation. Cependant, l’histoire de la Géorgie et d’autres pays confirme que le peuple est toujours gagnant.
Les manifestants ont adopté un message à Mikhaïl Saakachvili. « Nous disons aux autorités : il est impossible de vivre comme ça », est-il indiqué dans le document. Saakachvili doit reconnaître le droit du peuple au remplacement pacifique du pouvoir, estime l’opposition.
Toute la Géorgie exige la démission de Mikhaïl Saakachvili, a dit au meeting Levan Gatchetchiladzé, l’un des leaders de l’opposition, ex-candidat à la présidence en 2008. Nous passons le micro à Zviad Dzidzigouri, leader du parti conservateur :
Saakachvili ne veut pas démissionner mais le peuple ne veut pas, quant à lui, qu’il dirige le pays. D’où la confrontation. Cependant, l’histoire de la Géorgie et d’autres pays confirme que le peuple est toujours gagnant.
Les manifestants ont adopté un message à Mikhaïl Saakachvili. « Nous disons aux autorités : il est impossible de vivre comme ça », est-il indiqué dans le document. Saakachvili doit reconnaître le droit du peuple au remplacement pacifique du pouvoir, estime l’opposition.
