La Russie et l’Italie font un apport substantiel à la sécurité énergétique européenne. Il en était question au forum économique russo-italien à Moscou. Cette thèse a trouvé une confirmation dans les accords, signés au forum au niveau des deux gouvernements, dans la sphère de l’énergie et des télécommunications.
« Gazprom » a acheté à « ENI » italienne 20 % des actions de sa compagnie affiliée « Gazprom neft » pour 4,2 milliards de $. Le document a été signé par le chef du holding russe Alexeï Miller et le directeur général d’ENI Paolo Scaroni. Ensuite ils ont discuté avec le PDG d’ENEL Fulvio Conti les plans d’investissements , touchant la construction du gazoduc « South Stream », ainsi que la réalisation des projets conjoints dans la sphère gazière et électrique en territoire d’Italie, de Russie et des pays tiers. Nous rappelons qu’aux termes du document de partenariat stratégique entre « Gazprom » et ENI, le consortium russe fournit depuis 2007 du gaz naturel russe sur le marché italien et ses quantités passeront en espace de deux ans à 3 milliards de mètres cubes. Les contrats sur la livraison du gaz russe à l’Italie ont été renouvelés jusqu’à 2035. ENI a signé au forum un mémorandum d’intentions avec des sociétés russes « InterRAO « Systèmes énergétiques unifiés », « Rosneft », « Stroïtransgaz », « Zaroubejneft ». Les entreprises russes et italiennes ont conclu au total10 accords. Selon le Premier ministre russe Vladimir Poutine, le gouvernement russe salue les investissements des corporations italiennes ENI et ENEL dans le secteur énergétique de Russie. Une telle interaction a pour résultat d’affermir la sécurité énergétique de nos pays, mais aussi de tout le continent européen, a-t-il relevé. Ce qui importe surtout en période de crise, notaient les participants au forum. M. Poutine a dit à ce propos :
Nous entendons former une infrastructure, une base financière, institutionnelle en vue d’une reprise économique. Je sais que le gouvernement italien met en œuvre un programme anticrise d’ampleur, appelé à protéger l’économie nationale contre les fluctuations dangereuses de la conjoncture globale. Je suis persuadé que le partenariat et une ouverture mutuelle sont en mesure de rendre nos économies plus stables et compétitives, d’encourager la croissance et les activités.
La portée européenne de la coopération russo-italienne a été le leitmotiv du forum. On discutait du potentiel de la coopération dans l’investissement et en matière d’aménagement des zones économiques spéciales en Russie, orientées vers des productions hautement technologiques. Comme l’a noté Vladimir Poutine, il essentiel que la coopération russo-italienne soit une rue à deux sens.
« Gazprom » a acheté à « ENI » italienne 20 % des actions de sa compagnie affiliée « Gazprom neft » pour 4,2 milliards de $. Le document a été signé par le chef du holding russe Alexeï Miller et le directeur général d’ENI Paolo Scaroni. Ensuite ils ont discuté avec le PDG d’ENEL Fulvio Conti les plans d’investissements , touchant la construction du gazoduc « South Stream », ainsi que la réalisation des projets conjoints dans la sphère gazière et électrique en territoire d’Italie, de Russie et des pays tiers. Nous rappelons qu’aux termes du document de partenariat stratégique entre « Gazprom » et ENI, le consortium russe fournit depuis 2007 du gaz naturel russe sur le marché italien et ses quantités passeront en espace de deux ans à 3 milliards de mètres cubes. Les contrats sur la livraison du gaz russe à l’Italie ont été renouvelés jusqu’à 2035. ENI a signé au forum un mémorandum d’intentions avec des sociétés russes « InterRAO « Systèmes énergétiques unifiés », « Rosneft », « Stroïtransgaz », « Zaroubejneft ». Les entreprises russes et italiennes ont conclu au total10 accords. Selon le Premier ministre russe Vladimir Poutine, le gouvernement russe salue les investissements des corporations italiennes ENI et ENEL dans le secteur énergétique de Russie. Une telle interaction a pour résultat d’affermir la sécurité énergétique de nos pays, mais aussi de tout le continent européen, a-t-il relevé. Ce qui importe surtout en période de crise, notaient les participants au forum. M. Poutine a dit à ce propos :
Nous entendons former une infrastructure, une base financière, institutionnelle en vue d’une reprise économique. Je sais que le gouvernement italien met en œuvre un programme anticrise d’ampleur, appelé à protéger l’économie nationale contre les fluctuations dangereuses de la conjoncture globale. Je suis persuadé que le partenariat et une ouverture mutuelle sont en mesure de rendre nos économies plus stables et compétitives, d’encourager la croissance et les activités.
La portée européenne de la coopération russo-italienne a été le leitmotiv du forum. On discutait du potentiel de la coopération dans l’investissement et en matière d’aménagement des zones économiques spéciales en Russie, orientées vers des productions hautement technologiques. Comme l’a noté Vladimir Poutine, il essentiel que la coopération russo-italienne soit une rue à deux sens.