Les mesures anticrises seront efficaces si la majorité de la population les accepte. V. Poutine a fait cette déclaration mercredi à la réunion avec la direction du parti « Russie unie ».
Cependant, avant d’aborder le programme anticrise, il a évoqué le bicentenaire de Nikolai Gogol, classique de la littérature russe, dont l’œuvre lie inébranlablement les deux peuples frères, russe et ukrainien.
Ensuite, en abordant les mesures anticrises, V. Poutine a noté que l’argent des contribuables affectés à cette fin doit être dépensé de la meilleure façon et, précisément, pour surmonter les phénomènes négatifs dans l’Économie. Le premier ministre a rappelé qu’un trillion et de mi de roubles seront affectés à la liquidation des conséquences de la crise.
L’acquittement des engagements pris devant les citoyens de la Russie représente la priorité fondamentale. Il s’agit avant tout des salaires, des pensions de retraite, des allocations, de leur indexation opportune, complète et conforme à la législation adoptée pour faire face aux crises et à l’inflation. Deuxièmement, et non moins important, c’est le soutien du secteur réel de l’économie. Nous prenons le cap sur l’innovation qui a toujours été la fierté de notre pays. Je vise en premier lieu l’énergétique, dont nucléaire, l’Espace, la construction navale et aéronautique.
Cependant, avant d’aborder le programme anticrise, il a évoqué le bicentenaire de Nikolai Gogol, classique de la littérature russe, dont l’œuvre lie inébranlablement les deux peuples frères, russe et ukrainien.
Ensuite, en abordant les mesures anticrises, V. Poutine a noté que l’argent des contribuables affectés à cette fin doit être dépensé de la meilleure façon et, précisément, pour surmonter les phénomènes négatifs dans l’Économie. Le premier ministre a rappelé qu’un trillion et de mi de roubles seront affectés à la liquidation des conséquences de la crise.
L’acquittement des engagements pris devant les citoyens de la Russie représente la priorité fondamentale. Il s’agit avant tout des salaires, des pensions de retraite, des allocations, de leur indexation opportune, complète et conforme à la législation adoptée pour faire face aux crises et à l’inflation. Deuxièmement, et non moins important, c’est le soutien du secteur réel de l’économie. Nous prenons le cap sur l’innovation qui a toujours été la fierté de notre pays. Je vise en premier lieu l’énergétique, dont nucléaire, l’Espace, la construction navale et aéronautique.
Nous n’oublions pas pour autant de soutenir le secteur du bâtiment et du logement. Boris Gryzlov, président de la Douma d’Etat et l’un des leaders du parti « Russie unie », a proposé de faire renaître l’institution des gérants de la maison afin d’augmenter le nombre d’emplois et de diminuer les dépenses des locataires consenties aux prestations des équipements collectifs.
Le premier ministre n’était pas d’accord avec les déclarations faites par des membres du parti que le secteur bancaire avait reçu trop de ressources du budget de l’Etat sous forme de soutien anticrise. Nous leur avons donné autant qu’il fallait pour sauver le système financier du pays et les épargnes des citoyens, a dit V. Poutine. Il a averti, en même temps, que les fonds consentis aux banques doivent être alloués au secteur réel de l’économie et non pas à des transactions spéculatives. En outre, le premier ministre s’est prononcé contre l’idée de fermer complètement le marché agricole russe à l’importation. Cela, a-t-il, pourrait occasionner à l’intérieur du pays une hausse démesurée des prix des principales denrées alimentaires. Il a rappelé que l’Etat soutient dans tous les cas les producteurs agricoles russes.
Rappelons qu’avant de se rencontrer avec la direction du parti « Russie unie », V. Poutine s’est entretenu au sujet du programme anticrise avec les leaders des autres partis parlementaires : Communiste, Libéral-Démocratique et « Russie Juste ».
Le premier ministre n’était pas d’accord avec les déclarations faites par des membres du parti que le secteur bancaire avait reçu trop de ressources du budget de l’Etat sous forme de soutien anticrise. Nous leur avons donné autant qu’il fallait pour sauver le système financier du pays et les épargnes des citoyens, a dit V. Poutine. Il a averti, en même temps, que les fonds consentis aux banques doivent être alloués au secteur réel de l’économie et non pas à des transactions spéculatives. En outre, le premier ministre s’est prononcé contre l’idée de fermer complètement le marché agricole russe à l’importation. Cela, a-t-il, pourrait occasionner à l’intérieur du pays une hausse démesurée des prix des principales denrées alimentaires. Il a rappelé que l’Etat soutient dans tous les cas les producteurs agricoles russes.
Rappelons qu’avant de se rencontrer avec la direction du parti « Russie unie », V. Poutine s’est entretenu au sujet du programme anticrise avec les leaders des autres partis parlementaires : Communiste, Libéral-Démocratique et « Russie Juste ».
