Les crimes des nationalistes ukrainiens commis pendant la Seconde guerre mondiale sont rendus publics. Les copies des documents des Archives d’Etat de la Fédération de Russie permettant de se faire une idée de l’ampleur des crimes commis par les nationalistes de l’OUN-UPA (Organisation des nationalistes ukrainiens – Armée insurrectionnelle ukrainienne) sont rendues publiques sur le site du ministère russe des AE dans le chapitre « Services d’archives – nouvelles publications ».
D’après les documents du NKVD-MGB de l’URSS dévoilés en 2008, les fascistes ont largement recouru aux services des nationalistes sur les territoires occupés d’Ukraine ou était établi le dénommé « nouvel ordre ». L’OUN a collaboré avec les services spéciaux allemands dès les années 30 du 20ème siècle. En ce qui concerne l’UPA, elle a été fondée en 1942 avec le consentement des leaders de l’Allemagne nazie qui l’ont contrôlée. L’Armée rouge, les partisans soviétiques agissant sur le territoire ukrainien ont été opposés à l’UPA. Après l’évasion des fascistes ses détachements ont déployé les activités terroristes dans l’arrière-front des troupes soviétiques. Ils ont fait des dizaines de milliers de victimes parmi les civils.
La légende suivant laquelle l’OUN-UPA a lutté pour l’indépendance de l’Ukraine répandue par les partisans de Stepan Bandera est indéfendable. Selon les documents rendus publics, le Commissaire ukrainien Kokh a proclamé en mai 1942 la rive droite de la république partie de la région orientale de l’Allemagne qui devait être appelée « Petite Allemagne ». Les déclarations suivant lesquelles l’UPA a combattu en 1943-44 contre les nazis n’ont rien à voir avec les réalités. Il est indiqué dans les documents que l’UPA n’a entrepris aucune opération contre les expéditions punitives des fascistes ayant détruit les villages et les civils ukrainiens. Il n’aurait pas pu être autrement, estime Constantine Zatouline, directeur de l’Institut des pays de la CEI.
Certes, les auteurs actuels de l’histoire ukrainienne peuvent inventer à leur gré la version d’après laquelle il était possible de lutte à l’époque contre l’Armée soviétique et simultanément contre l’hitlérisme. Il n’y avait pas d’autres voie. L’OUN détournait les forces de l’Armée soviétique ou instituait un nouvel « ordre » sur le territoire occupé rendant tous les allogènes : que ce soient les Polonais, les Juifs ou les Russes victimes potentielles.
D’après les documents du NKVD-MGB de l’URSS dévoilés en 2008, les fascistes ont largement recouru aux services des nationalistes sur les territoires occupés d’Ukraine ou était établi le dénommé « nouvel ordre ». L’OUN a collaboré avec les services spéciaux allemands dès les années 30 du 20ème siècle. En ce qui concerne l’UPA, elle a été fondée en 1942 avec le consentement des leaders de l’Allemagne nazie qui l’ont contrôlée. L’Armée rouge, les partisans soviétiques agissant sur le territoire ukrainien ont été opposés à l’UPA. Après l’évasion des fascistes ses détachements ont déployé les activités terroristes dans l’arrière-front des troupes soviétiques. Ils ont fait des dizaines de milliers de victimes parmi les civils.
La légende suivant laquelle l’OUN-UPA a lutté pour l’indépendance de l’Ukraine répandue par les partisans de Stepan Bandera est indéfendable. Selon les documents rendus publics, le Commissaire ukrainien Kokh a proclamé en mai 1942 la rive droite de la république partie de la région orientale de l’Allemagne qui devait être appelée « Petite Allemagne ». Les déclarations suivant lesquelles l’UPA a combattu en 1943-44 contre les nazis n’ont rien à voir avec les réalités. Il est indiqué dans les documents que l’UPA n’a entrepris aucune opération contre les expéditions punitives des fascistes ayant détruit les villages et les civils ukrainiens. Il n’aurait pas pu être autrement, estime Constantine Zatouline, directeur de l’Institut des pays de la CEI.
Certes, les auteurs actuels de l’histoire ukrainienne peuvent inventer à leur gré la version d’après laquelle il était possible de lutte à l’époque contre l’Armée soviétique et simultanément contre l’hitlérisme. Il n’y avait pas d’autres voie. L’OUN détournait les forces de l’Armée soviétique ou instituait un nouvel « ordre » sur le territoire occupé rendant tous les allogènes : que ce soient les Polonais, les Juifs ou les Russes victimes potentielles.
Les nationalistes ont réservé le même sort au peuple ukrainien. Les projets du 3ème Reich ne supposaient ni l’Ukraine ni les Ukrainiens indépendants.