« Les banques nous ont volés », « Le capitalisme ne fonctionne pas ». Ce sont les slogans arborés par les manifestants qui ont investi mercredi la City de Londres, à la veille du sommet du G20.
Les opposants à la mondialisation de l’économie, et les militants des mouvements écologistes, les partisans de l’amélioration du climat, les membres des organisations caritatives ont participé aux manifs. Certains sont allés plus loin en voulant passer à tabac les banques. La première a été l’entrée aux bureaux de la Banque royale de l’Ecosse.
La Journée internationale des imbéciles ou de l’houmour ne tenait pas à cœur les Britanniques, ont déclaré les auteurs des manifestations, parce que en Grande-Bretagne et dans d’autres pays, des dizaines de millions de personnes sont devenues victimes des machinations des banques et de la politique finaciè;re et économique des gouvernements. Voici ce qu’a déclaré à notre chaîne Boris Kagarlitski, directeur de l’Institut russe des problèmes de globalisation et des mouvements sociaux.
La crise globale a très bien démontré combien justes ont été les réclamations des antiglobalistes. Bien des choses dont ils ont parlées et que les milieux dirigeants de la majorité des pays ont reniées pendant longtemps, se sont rendues évidentes, a souligne Kagarlitski.
Les opposants à la mondialisation de l’économie, et les militants des mouvements écologistes, les partisans de l’amélioration du climat, les membres des organisations caritatives ont participé aux manifs. Certains sont allés plus loin en voulant passer à tabac les banques. La première a été l’entrée aux bureaux de la Banque royale de l’Ecosse.
La Journée internationale des imbéciles ou de l’houmour ne tenait pas à cœur les Britanniques, ont déclaré les auteurs des manifestations, parce que en Grande-Bretagne et dans d’autres pays, des dizaines de millions de personnes sont devenues victimes des machinations des banques et de la politique finaciè;re et économique des gouvernements. Voici ce qu’a déclaré à notre chaîne Boris Kagarlitski, directeur de l’Institut russe des problèmes de globalisation et des mouvements sociaux.
La crise globale a très bien démontré combien justes ont été les réclamations des antiglobalistes. Bien des choses dont ils ont parlées et que les milieux dirigeants de la majorité des pays ont reniées pendant longtemps, se sont rendues évidentes, a souligne Kagarlitski.
Le mouvement antiglobaliste peut bien spur apporter sa contribution aux changements. Mais ce sont les leaders des puissances industrielles qui pourront obtenir de nouveaux résultats en vue de former la nouvelle architecture financière à l’échelle globale.
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