La Russie n’a pas encore pris la décision définitive de relancer la coopération militaire entre la Russie et l'OTAN. Ce sera possible seulement après une série de démarches de la part de l’alliance qui monteront qu’elle tient compte des intérêts de Moscou, a déclaré vendredi l'ambassadeur russe auprès de l'Otan Dmitri Rogozine lors d’une conférence de presse dans la capitale russe.
Selon Dmitri Rogozine, la Russie n’a pas encore pris la décision définitive de relancer la coopération militaire avec l'OTAN à cause de la position inconstructive de l’alliance sur la guerre en Ossétie du sud, lorsque le bloc avait soutenu la Géorgie. Le diplomate russe a l’intention d’exiger la tenue d’une réunion spéciale du conseil Russie-OTAN consacrée à l’agression géorgienne contre l’Ossétie du sud en aout dernier. On sait que Moscou coopère avec l’OTAN dans la lutte contre la menace de prolifération de drogue et du terrorisme, en provenance de l’Afghanistan et d’autres pays. Dmitri Rogozine a noté que la Russie était intéressée à voir se développer la coopération militaire avec l’alliance, mais que cela était impossible pour le moment à cause de certains problèmes politiques.
Ce n’est pas seulement à cause de la guerre en aout de la Géorgie contre les deux jeunes démocraties audacieuses. Il existe un autre problème : le bouclier antimissile. Bien que l’OTAN ait exprimé sa solidarité avec les projets américains de déployer sur le territoire de Pologne et de Tchéquie des éléments de défense antimissile américaine, les membres de l’alliance étaient choqués d’apprendre que les Etats-Unis avaient obtenu l’accord de Prague et de Varsovie derrière leur dos. En ce moment, après la décision prise par le parlement tchèque, on peut dire que les projets américains sur le bouclier antimissile sont presque anéantis. Pourtant, dans nos relations, c’est un point qui suscite des tensions. Il existe des désaccords au sujet du contrôle sur les armes en Europe – le traité FCE. La non-prolifération des ADM doit également être un sujet de discussions. La Russie propose d’organiser une rencontre des dirigeants des départements sur le désarmement au sein des MAE des pays-membres du Conseil Russie-OTAN.
Selon Dmitri Rogozine, la Russie n’a pas encore pris la décision définitive de relancer la coopération militaire avec l'OTAN à cause de la position inconstructive de l’alliance sur la guerre en Ossétie du sud, lorsque le bloc avait soutenu la Géorgie. Le diplomate russe a l’intention d’exiger la tenue d’une réunion spéciale du conseil Russie-OTAN consacrée à l’agression géorgienne contre l’Ossétie du sud en aout dernier. On sait que Moscou coopère avec l’OTAN dans la lutte contre la menace de prolifération de drogue et du terrorisme, en provenance de l’Afghanistan et d’autres pays. Dmitri Rogozine a noté que la Russie était intéressée à voir se développer la coopération militaire avec l’alliance, mais que cela était impossible pour le moment à cause de certains problèmes politiques.
Ce n’est pas seulement à cause de la guerre en aout de la Géorgie contre les deux jeunes démocraties audacieuses. Il existe un autre problème : le bouclier antimissile. Bien que l’OTAN ait exprimé sa solidarité avec les projets américains de déployer sur le territoire de Pologne et de Tchéquie des éléments de défense antimissile américaine, les membres de l’alliance étaient choqués d’apprendre que les Etats-Unis avaient obtenu l’accord de Prague et de Varsovie derrière leur dos. En ce moment, après la décision prise par le parlement tchèque, on peut dire que les projets américains sur le bouclier antimissile sont presque anéantis. Pourtant, dans nos relations, c’est un point qui suscite des tensions. Il existe des désaccords au sujet du contrôle sur les armes en Europe – le traité FCE. La non-prolifération des ADM doit également être un sujet de discussions. La Russie propose d’organiser une rencontre des dirigeants des départements sur le désarmement au sein des MAE des pays-membres du Conseil Russie-OTAN.
Dmitri Rogozine compte qu’une réunion des ambassadeurs des pays, membres du Conseil pourra avoir lieu après le 20 avril, une rencontre ministérielle- entre le 18 mai et le 6 juin. L’initiative du président russe Dmitri Medvedev sur le redémarrage de la sécurité européenne, la signature d’un document juridiquement contraignant, ce sera le sujet principal de l’ordre du jour.
