Ces derniers temps la production de la drogue en Afghanistan a triplé. Actuellement ce pays produit 93 % des opiacées du monde. 35 mille t d’héroïne sont stockées dans des cachettes afghanes.
Ces chiffres horribles sont publiés dans le rapport de Viktor Ivanov, chef du Service Fédéral de Russie pour le contrôle du trafic illicite de la drogue.
L’entrée des forces coalisées de l’OTAN en Afghanistan, a-t-il dit, n’a fait qu’aggraver la situation concernant la drogue. La récolte du pavot somnifère en Afghanistan a augmenté de 40 fois après l’intervention de l’OTAN dans ce pays.
Ces chiffres horribles sont publiés dans le rapport de Viktor Ivanov, chef du Service Fédéral de Russie pour le contrôle du trafic illicite de la drogue.
L’entrée des forces coalisées de l’OTAN en Afghanistan, a-t-il dit, n’a fait qu’aggraver la situation concernant la drogue. La récolte du pavot somnifère en Afghanistan a augmenté de 40 fois après l’intervention de l’OTAN dans ce pays.
Voici ce qu’a dit à notre correspondant l’expert à l’Institut de l’Economie mondiale et des rapports internationaux auprès de l’Académie des Sciences de Russie Alexandre Pikaïev :
Le problème est très grave en Afghanistan contemporain. Pour de nombreux Afghans la culture des opiacées, la production et la contrebande de la drogue constituent l’unique moyen de subsistance. Et comme ni les autorités du pays, ni les troupes de l’OTAN ne consentent pas d’efforts suffisants pour combattre ce mal, l’Afghanistan est devenu l’une des sources essentielles à la contrebande de la drogue vers les pays d’Europe et de la CEI.
Le chef du Service Fédéral de Russie pour le contrôle du trafic illicite de la drogue a appelé les forces coalisées de l’OTAN de combattre plus activement le business de la drogue : détruire les semences du pavot somnifère, les laboratoires et les cachettes. A la fois M. Ivanov a constaté que le problème du trafic illicite de la drogue n’avait pas de solution purement militaire. La pression armée ne fait qu’intensifier le flux des stupéfiants en provenance de ce pays avant tout vers la Russie et l’Europe, où la population a des revenus plus élevés.
Le problème est très grave en Afghanistan contemporain. Pour de nombreux Afghans la culture des opiacées, la production et la contrebande de la drogue constituent l’unique moyen de subsistance. Et comme ni les autorités du pays, ni les troupes de l’OTAN ne consentent pas d’efforts suffisants pour combattre ce mal, l’Afghanistan est devenu l’une des sources essentielles à la contrebande de la drogue vers les pays d’Europe et de la CEI.
Le chef du Service Fédéral de Russie pour le contrôle du trafic illicite de la drogue a appelé les forces coalisées de l’OTAN de combattre plus activement le business de la drogue : détruire les semences du pavot somnifère, les laboratoires et les cachettes. A la fois M. Ivanov a constaté que le problème du trafic illicite de la drogue n’avait pas de solution purement militaire. La pression armée ne fait qu’intensifier le flux des stupéfiants en provenance de ce pays avant tout vers la Russie et l’Europe, où la population a des revenus plus élevés.
