Après sa riposte à l’agression de la Géorgie contre l’Ossétie du Sud en août dernier, la Russie est devenue plus respectée dans le monde, a déclaré l’ambassadeur de Russie auprès de l’OTAN Dmitri Rogozine, interviewé par la station de radio « Echo de Moscou ». Développant ce thème, notre observateur politique Victor Enikeev écrit.
Je devrais dire aussi qu’après ces événements, d’aucuns en Occident ont commencé à considérer la Russie avec circonspection. Ces gens ont mal interprété la situation et se sont laissé influencer par les médias et l’idéologie partisane des hommes politiques et d’Etat, qui tantôt disaient que la Russie a commencé la première la guerre au Caucase, tantôt l’accusaient de riposte disproportionnée à l’agression du régime Saakachvili.
Beaucoup en Europe et outre-Atlantique disaient alors que les rapports avec Moscou ne seront jamais plus ce qu’ils étaient auparavant. Peu de temps s’est écoulé depuis, et nous voyons que Washington et Bruxelles se rendent compte de la nécessité de rétablir et de maintenir des relations de partenariat normales et mutuellement avantageuses avec la Russie. Les raisons en sont nombreuses. Le président Saakachvili a reconnu publiquement sa responsabilité du déclenchement des hostilités contre l’Ossétie du Sud et les forces de paix russes. Le Kremlin a occupé une position nette, ferme et conséquente, défendant la justesse de ses actions. Le grand travail d’explication, mené par le président Medvedev, le premier ministre Poutine et le ministre des Affaires étrangères Lavrov à travers les médias, dans de grandes rencontres internationales et au cours des entretiens personnels avec des leaders étrangers a également porté ses fruits. Bref, les Occidentaux ont reconnu qu’ils ont commis une erreur, que la politique de confrontation avec Moscou est aussi pernicieuse pour eux-mêmes que pour la situation internationale dans son ensemble. On a tenu compte du rôle joué par la Russie dans la lutte contre le terrorisme et l’extrémisme international , la non-prolifération des armes de destruction massive, le désarmement, la solution des conflits régionaux graves et dans beaucoup d’autres sphères.
Je devrais dire aussi qu’après ces événements, d’aucuns en Occident ont commencé à considérer la Russie avec circonspection. Ces gens ont mal interprété la situation et se sont laissé influencer par les médias et l’idéologie partisane des hommes politiques et d’Etat, qui tantôt disaient que la Russie a commencé la première la guerre au Caucase, tantôt l’accusaient de riposte disproportionnée à l’agression du régime Saakachvili.
Beaucoup en Europe et outre-Atlantique disaient alors que les rapports avec Moscou ne seront jamais plus ce qu’ils étaient auparavant. Peu de temps s’est écoulé depuis, et nous voyons que Washington et Bruxelles se rendent compte de la nécessité de rétablir et de maintenir des relations de partenariat normales et mutuellement avantageuses avec la Russie. Les raisons en sont nombreuses. Le président Saakachvili a reconnu publiquement sa responsabilité du déclenchement des hostilités contre l’Ossétie du Sud et les forces de paix russes. Le Kremlin a occupé une position nette, ferme et conséquente, défendant la justesse de ses actions. Le grand travail d’explication, mené par le président Medvedev, le premier ministre Poutine et le ministre des Affaires étrangères Lavrov à travers les médias, dans de grandes rencontres internationales et au cours des entretiens personnels avec des leaders étrangers a également porté ses fruits. Bref, les Occidentaux ont reconnu qu’ils ont commis une erreur, que la politique de confrontation avec Moscou est aussi pernicieuse pour eux-mêmes que pour la situation internationale dans son ensemble. On a tenu compte du rôle joué par la Russie dans la lutte contre le terrorisme et l’extrémisme international , la non-prolifération des armes de destruction massive, le désarmement, la solution des conflits régionaux graves et dans beaucoup d’autres sphères.
Les événements au Caucase ont montré que la Russie démocratique défendra fermement ses intérêts nationaux et la légalité internationale non pas en parole, mais dans des actes, qu’elle construira ses rapports avec le monde uniquement sur l’égalité, le respect mutuel et la prise en compte des intérêts et des préoccupations réciproques. On sait que celui qui ne se respecte pas n’est pas respecté par d’autres.
