Nous vous parlerons aujourd’hui dans la rubrique « 2010 est l’année de la Russie en France et de la France en Russie » qui est devenue traditionnelle de la réunion qui s’est récemment déroulée au Conseil de la Fédération (autrement dit le Sénat ou la chambre haute du parlementent) en vue de préparer cet événement grandiose qui marquera pour la première fois l’histoire de nos deux pays. Notre correspondant Igor Iazon y a assisté :
Mikhail Chvydkoi, représentant spécial du président de la Russie pour la coopération culturelle, coordonnateur de la partie russe du Comité d’organisation, a présenté le concept de l’événement aux sénateurs. Il reste moins de 10 mois avant que ce projet d’envergure unique démarre, a noté M. Shvydkoi, c’est pourquoi les préparatifs battent leur plein. Il a communiqué que les réunions du comité d’organisation conjoint ont lieu tous les deux mois et que la dernière s’est déroulée le 25 février à Moscou. D’après lui, les points culminants de l’événement sont déjà définis. L’exposition « Sainte Russie » qui embrassera 1000 ans de son histoire ouvrira ses portes à la fin de mars 2010 au musée du Louvre. Elle présentera les œuvres recueillies parmi les collections du Kremlin, des musées de Vladimir, de Souzdal, de Novgorod. Alors que la tournée de l’orchestre symphonique du théâtre Marie de St-Petersbourg, sous la direction de Valeri Guerguiev, commencera en janvier en France.
La France et la Russie jouent un rôle particulier en Europe parce que ces deux pays exportent la culture. Avec tout mon respect, relate M. Chvydkoi, je ne pourrais citer aucun pays, excepté la Russie et la France, qui s’occupe de l’exportation de la culture. C’est l’un des principes de l’existence nationale de nos peuples. L’année 2010 sera non seulement celle de l’exposition de nos réalisations culturelles, mais aussi des progrès enregistrés par les hautes technologies, par notre coopération dans les secteurs spatial, aéronautique, automobile, pharmaceutique, de même que des recherches-développement, des technologies assurant une bonne gestion de l’énergie. Nos collègues français insistent fort sur ces dernières. Il s’agit aussi de la collaboration entre nos institutions politiques et il serait d’une grande importance que le Conseil de la Fédération apporte sa contribution au dialogue interparlementaire franco-russe. Nous avons prévu aussi un large programme sportif qui mettra l’accent sur les sports des jeunes.
Mikhail Chvydkoi, représentant spécial du président de la Russie pour la coopération culturelle, coordonnateur de la partie russe du Comité d’organisation, a présenté le concept de l’événement aux sénateurs. Il reste moins de 10 mois avant que ce projet d’envergure unique démarre, a noté M. Shvydkoi, c’est pourquoi les préparatifs battent leur plein. Il a communiqué que les réunions du comité d’organisation conjoint ont lieu tous les deux mois et que la dernière s’est déroulée le 25 février à Moscou. D’après lui, les points culminants de l’événement sont déjà définis. L’exposition « Sainte Russie » qui embrassera 1000 ans de son histoire ouvrira ses portes à la fin de mars 2010 au musée du Louvre. Elle présentera les œuvres recueillies parmi les collections du Kremlin, des musées de Vladimir, de Souzdal, de Novgorod. Alors que la tournée de l’orchestre symphonique du théâtre Marie de St-Petersbourg, sous la direction de Valeri Guerguiev, commencera en janvier en France.
La France et la Russie jouent un rôle particulier en Europe parce que ces deux pays exportent la culture. Avec tout mon respect, relate M. Chvydkoi, je ne pourrais citer aucun pays, excepté la Russie et la France, qui s’occupe de l’exportation de la culture. C’est l’un des principes de l’existence nationale de nos peuples. L’année 2010 sera non seulement celle de l’exposition de nos réalisations culturelles, mais aussi des progrès enregistrés par les hautes technologies, par notre coopération dans les secteurs spatial, aéronautique, automobile, pharmaceutique, de même que des recherches-développement, des technologies assurant une bonne gestion de l’énergie. Nos collègues français insistent fort sur ces dernières. Il s’agit aussi de la collaboration entre nos institutions politiques et il serait d’une grande importance que le Conseil de la Fédération apporte sa contribution au dialogue interparlementaire franco-russe. Nous avons prévu aussi un large programme sportif qui mettra l’accent sur les sports des jeunes.
M. Shvydkoi a précisé que les présentations des régions de la Russie en France et celles de la France en Russie seront une composante importante de l’événement :
L’année de la France en Russie se déroulera dans 29 villes, de Moscou jusqu’à Vladivostok, de Iaroslavl jusqu’à Iakoutsk, a dit M. Chvydkoi. C’est effectivement une large représentation de l’art français jamais vue auparavant. Il suffit de citer un exemple : la Comédie française n’est jamais partie en tournée pour un mois. C’est pour la première fois en 300 ans de son histoire qu’elle sera en tournée pendant un mois à travers la Russie. C’est un signe de respect envers nous. Cela prouve en même temps l’importance de la coopération culturelle régionale. Les régions russes doivent aussi répondre aux Français par une large manifestation de leur culture. Et non seulement de la culture. Les régions peuvent démontrer en France leur attrait pour l’investissement et leurs possibilités. J’imagine que la participation à l’événement des régions russes où le capital français est présent et des régions qui possèdent des moyens pour la coopération pourrait donner un double effet considérable. Elles pourront s’exposer à l’exposition commerciale et industrielle de la Russie, grandiose elle aussi, qui se déroulera en septembre 2010 à Paris. Notre comité coordonnateur russe, a dit en conclusion son coordonnateur en s’adressant aux sénateurs qui représentaient les régions russes, est prêt à aider pour que vos régions prennent part à l’Année de la Russie en France et celle de la France en Russie. Cet événement ouvrira pour elles de nouvelles possibilités pour la coopération et pour le partenariat dans les domaines économique, d’investissement, technologique.
Guergui Petrov, vice-président de la Chambre industrielle et commerciale de la Russie, parlera demain sur notre antenne de la composante économique de l’Année de la Russie en France et de celle de la France en Russie.
L’année de la France en Russie se déroulera dans 29 villes, de Moscou jusqu’à Vladivostok, de Iaroslavl jusqu’à Iakoutsk, a dit M. Chvydkoi. C’est effectivement une large représentation de l’art français jamais vue auparavant. Il suffit de citer un exemple : la Comédie française n’est jamais partie en tournée pour un mois. C’est pour la première fois en 300 ans de son histoire qu’elle sera en tournée pendant un mois à travers la Russie. C’est un signe de respect envers nous. Cela prouve en même temps l’importance de la coopération culturelle régionale. Les régions russes doivent aussi répondre aux Français par une large manifestation de leur culture. Et non seulement de la culture. Les régions peuvent démontrer en France leur attrait pour l’investissement et leurs possibilités. J’imagine que la participation à l’événement des régions russes où le capital français est présent et des régions qui possèdent des moyens pour la coopération pourrait donner un double effet considérable. Elles pourront s’exposer à l’exposition commerciale et industrielle de la Russie, grandiose elle aussi, qui se déroulera en septembre 2010 à Paris. Notre comité coordonnateur russe, a dit en conclusion son coordonnateur en s’adressant aux sénateurs qui représentaient les régions russes, est prêt à aider pour que vos régions prennent part à l’Année de la Russie en France et celle de la France en Russie. Cet événement ouvrira pour elles de nouvelles possibilités pour la coopération et pour le partenariat dans les domaines économique, d’investissement, technologique.
Guergui Petrov, vice-président de la Chambre industrielle et commerciale de la Russie, parlera demain sur notre antenne de la composante économique de l’Année de la Russie en France et de celle de la France en Russie.
