La Russie a su éviter la thérapie de choc grâce aux mesures anticrise, a dit le premier ministre Vladimir Poutine ayant pris jeudi la parole à la séance du présidium du gouvernement. Les délégués à la séance ont examiné l’application des mesures en vue d’assainir la situation dans le secteur financier et dans plusieurs autres domaines. Vladimir Poutine a dit, en particulier :
Nous avons offert à tous les acteurs économiques la possibilité de s’adapter à la situation qui s’est créée, réussi à prévenir la dévaluation totale, baissé les impôts. Nous avons soutenu les branches du secteur réel de l’économie ayant ressenti le plus douloureusement l’effet de la crise. Il suffit d’évoquer les mesures appliquées dans l’agriculture. Nous mettons en œuvre les programme d’assistance aux citoyens ayant perdu l’emploi ainsi qu’à ceux qui ont des difficultés dans le remboursement des crédits hypothécaires. La dynamique positive de l’octroi des crédits aux entreprises confirme que ces programmes s’avèrent efficaces. Le taux de croissance dans l’octroi des crédits est pour le moment insuffisant. Cependant, ce processus est dans l’ensemble repris, a souligné le chef du gouvernement russe.
Vladimir Poutine a assuré que l’Etat ne participera pas directement au capital de la plupart des banques. La part de l’Etat ne sera accrue qu’au capital du second niveau grâce aux crédits subordonnés accordés à long terme.
Nous avons offert à tous les acteurs économiques la possibilité de s’adapter à la situation qui s’est créée, réussi à prévenir la dévaluation totale, baissé les impôts. Nous avons soutenu les branches du secteur réel de l’économie ayant ressenti le plus douloureusement l’effet de la crise. Il suffit d’évoquer les mesures appliquées dans l’agriculture. Nous mettons en œuvre les programme d’assistance aux citoyens ayant perdu l’emploi ainsi qu’à ceux qui ont des difficultés dans le remboursement des crédits hypothécaires. La dynamique positive de l’octroi des crédits aux entreprises confirme que ces programmes s’avèrent efficaces. Le taux de croissance dans l’octroi des crédits est pour le moment insuffisant. Cependant, ce processus est dans l’ensemble repris, a souligné le chef du gouvernement russe.
Vladimir Poutine a assuré que l’Etat ne participera pas directement au capital de la plupart des banques. La part de l’Etat ne sera accrue qu’au capital du second niveau grâce aux crédits subordonnés accordés à long terme.
Le gouvernement russe a adopté jeudi une décision importante ayant approuvé la conception et le plan d’action en vue d’instituer à Moscou un Centre financier régional. Ce processus se déroulera, de l’avis des experts, pendant près de cinq ans. Or, il est nécessaire d’adopter sans tarder les règles et les lois principales, notamment dans le fisc.
