La Russie augmente les investissements dans la coopération avec les sociétés pétro-gazières latino-américaines. Elle le fait d’ailleurs dans le contexte de la nouvelle époque qui marque les relations entre la Russie et le contient sud-américain dans son ensemble et, plus particulièrement, en développant des projets d’envergure communs. Elena Stoudnéva nous en donne les détails.
La Bolivie est aujourd’hui l’un des principaux partenaires de Moscou pour la prospection et l’extraction des hydrocarbures. Comme l’a déclaré Saoul Avalos, ministre du Pétrole, du Gaz et de l’Énergétique, la Russie mettra au point un plan général de développement du l’industrie gazière bolivienne. Elle aidera aussi ce pays à créer un institut de recherches-développements pour le gaz naturel. La Bolivie occupe la 3e place en Amérique latine pour les réserves en gaz naturel. Le groupe russe Gazprom a signé avec ses homologues boliviens YPEB et Total E&P Bolivia un mémorandum sur la création d’une entreprise mixte pour l’extraction et la transformation des hydrocarbures dans le pays.
Pour le moment le Gazprom a obtenu la licence et mène à bien la prospection et l’exploitation du gaz naturel au large du Venezuela. Ses immenses réserves sont estimées environ 100 milliard de m3. La partie vénézuélienne a réalisé les contrats de mise en chantier de la 1re étape du Gazoduc sud-américain. Elle fait partie du concept de stratégie du développement du secteur gazier qui a été mis au point par les spécialistes russes pour le Venezuela.
La Bolivie est aujourd’hui l’un des principaux partenaires de Moscou pour la prospection et l’extraction des hydrocarbures. Comme l’a déclaré Saoul Avalos, ministre du Pétrole, du Gaz et de l’Énergétique, la Russie mettra au point un plan général de développement du l’industrie gazière bolivienne. Elle aidera aussi ce pays à créer un institut de recherches-développements pour le gaz naturel. La Bolivie occupe la 3e place en Amérique latine pour les réserves en gaz naturel. Le groupe russe Gazprom a signé avec ses homologues boliviens YPEB et Total E&P Bolivia un mémorandum sur la création d’une entreprise mixte pour l’extraction et la transformation des hydrocarbures dans le pays.
Pour le moment le Gazprom a obtenu la licence et mène à bien la prospection et l’exploitation du gaz naturel au large du Venezuela. Ses immenses réserves sont estimées environ 100 milliard de m3. La partie vénézuélienne a réalisé les contrats de mise en chantier de la 1re étape du Gazoduc sud-américain. Elle fait partie du concept de stratégie du développement du secteur gazier qui a été mis au point par les spécialistes russes pour le Venezuela.
Igor Setchine, premier vice-ministre de la Russie, a résumé le volume de travail prévu à cet effet.
La construction des gazoducs, la livraison des équipements, la transformation et la commercialisation concernent aussi le secteur gazier et les autres gros projets énergétiques. Il s’agit aussi de la prospection, de l’extraction et de la transformation du brut. La plupart des réserves contiennent du pétrole lourd, par conséquent l’extraction doit être combinée avec sa transformation industrielle. Les contrats avec le Venezuela sont signés pour 25 ans et seront renouvelables pour 5 ans en cas d’absence de contestation dans toutes les sphères. Cela veut dire que tous les projets seront de longue échéance.
A coté du Gazprom, le marché vénézuélien a accueilli les géants russes Lukoil, TNK-BP, Surgutneftegaz, Rosneft. Les nouveaux projets de la Russie dans les pays latino-américains pourraient être appelés « révolution gazière ». Ni les sociétés européennes ni les sociétés russes n’avaient pas accès dans cette région à cause de la grande influence politique et économique que les USA exerçaient sur ce continent. La présence de la Russie en Amérique latine sera sérieuse et longue parce qu’elle représente l’un des principaux facteurs sur les marchés énergétiques mondiaux. Elle est capable d’apporter une importante contribution à leur stabilisation et à la sécurité énergétique globale.
La construction des gazoducs, la livraison des équipements, la transformation et la commercialisation concernent aussi le secteur gazier et les autres gros projets énergétiques. Il s’agit aussi de la prospection, de l’extraction et de la transformation du brut. La plupart des réserves contiennent du pétrole lourd, par conséquent l’extraction doit être combinée avec sa transformation industrielle. Les contrats avec le Venezuela sont signés pour 25 ans et seront renouvelables pour 5 ans en cas d’absence de contestation dans toutes les sphères. Cela veut dire que tous les projets seront de longue échéance.
A coté du Gazprom, le marché vénézuélien a accueilli les géants russes Lukoil, TNK-BP, Surgutneftegaz, Rosneft. Les nouveaux projets de la Russie dans les pays latino-américains pourraient être appelés « révolution gazière ». Ni les sociétés européennes ni les sociétés russes n’avaient pas accès dans cette région à cause de la grande influence politique et économique que les USA exerçaient sur ce continent. La présence de la Russie en Amérique latine sera sérieuse et longue parce qu’elle représente l’un des principaux facteurs sur les marchés énergétiques mondiaux. Elle est capable d’apporter une importante contribution à leur stabilisation et à la sécurité énergétique globale.
