"Cette décision n'a pas encore été adoptée, mais elle n'est pas à exclure", a-t-il indiqué devant les journalistes, ajoutant que l'exécutif européen estimait prématuré tout commentaire à ce sujet.
Cela dit, M.Tarradellas Espuny a précisé que l'Union européenne (UE) préconisait un "marché ouvert" des livraisons d'hydrocarbures et ne saluait guère la création de cartels énergétiques.
Le président en exercice de l'OPEP et ministre algérien de l'Energie, Chakib Khelil, a souhaité le 2 décembre dernier l'élargissement du cartel et a invité la Russie, la Norvège et le Mexique à le rejoindre.
Plus tard, il a déclaré que les pays membres de l'OPEP décideraient le 17 décembre prochain de réduire considérablement les volumes de production de pétrole.
La semaine dernière, le président russe Dmitri Medvedev a déclaré que la Russie n'excluait plus de rejoindre les rangs de l'OPEP ni de réduire les volumes de pétrole pour "défendre" ses intérêts nationaux.
