La Russie doit élaborer prochainement des mesures permettant d’influer de façon plus active sur la conjoncture mondiale des prix du pétrole. Le premier ministre russe Vladimir Poutine a fait cette déclaration à la réunion consacrée aux questions de régulation stratégique de l’extraction et la livraison du pétrole sur le marché domestique et étranger.
Il convient de rappeler que l’oscillation brutale des prix du brut est une des conséquences les plus négatives de la crise financière mondiale. Au cours de quelques mois, les prix ont diminué deux fois – de 140 jusqu’à 60 dollars le baril. Naturellement, une telle situation a compliqué la situation économique dans les pays-producteurs du pétrole, car leur bien-être dépend pour beaucoup des exportations de cette ressource stratégique. Cela concerne aussi la Russie, dont une grosse partie des recettes est composée des taxes pétrolières à l’exportation. Ces taxes étaient définies tous les deux mois, suivant une certaine stabilité des prix :
Aujourd’hui, lorsque les oscillations des prix sont devenues trop brutales, a noté Vladimir Poutine à ce sujet, il faut corriger ce modèle, bien sûr. Le ministère du développement économique, avec celui de l’énergie et des finances, propose de réduire deux fois l’action des taxes à l’exportation, jusqu’à un mois. Dans ce cas, leur niveau correspondra le mieux au prix du moment. La Russie, en tant que l’un des plus gros exportateurs et producteurs du pétrole et de ses dérivés ne peut pas se trouver à l’écart de la formation des prix mondiaux. Nous devons élaborer un complexe de mesures qui permettront d’influer de façon plus active sur la conjoncture du marché, a souligné le premier ministre.
Jusqu’à présent, le plus grand acteur, influant sur les prix mondiaux du brut, c’était l’OPEP, l’organisation des pays exportateurs du pétrole. Ses membres possèdent 70% de réserves de l’or noir. La Russie qui ne fait pas partie de l’organisation, cherche tout de même à coordonner ses efforts de stabilisation du marché pétrolier mondial. D’ailleurs, l’OPEP estime que le prix entre 70 et 90 dollars le baril est optimal. La Russie partage cet avis. En même temps, en plus des efforts stabilisants, elle prévoit de prendre des mesures qui permettront d’assurer le développement de la production pétrolière dans la situation actuelle assez compliquée et de stimuler les processus d’investissement, selon l’expression de Vladimir Poutine. Pour cela, l’état a diminué les taxes pour les grosses compagnies pétrolières intégrées et il a annoncé l’intention de faire pénétrer les PME sur ce marché afin de rehausser l’efficacité de la branche en gros.
Il convient de rappeler que l’oscillation brutale des prix du brut est une des conséquences les plus négatives de la crise financière mondiale. Au cours de quelques mois, les prix ont diminué deux fois – de 140 jusqu’à 60 dollars le baril. Naturellement, une telle situation a compliqué la situation économique dans les pays-producteurs du pétrole, car leur bien-être dépend pour beaucoup des exportations de cette ressource stratégique. Cela concerne aussi la Russie, dont une grosse partie des recettes est composée des taxes pétrolières à l’exportation. Ces taxes étaient définies tous les deux mois, suivant une certaine stabilité des prix :
Aujourd’hui, lorsque les oscillations des prix sont devenues trop brutales, a noté Vladimir Poutine à ce sujet, il faut corriger ce modèle, bien sûr. Le ministère du développement économique, avec celui de l’énergie et des finances, propose de réduire deux fois l’action des taxes à l’exportation, jusqu’à un mois. Dans ce cas, leur niveau correspondra le mieux au prix du moment. La Russie, en tant que l’un des plus gros exportateurs et producteurs du pétrole et de ses dérivés ne peut pas se trouver à l’écart de la formation des prix mondiaux. Nous devons élaborer un complexe de mesures qui permettront d’influer de façon plus active sur la conjoncture du marché, a souligné le premier ministre.
Jusqu’à présent, le plus grand acteur, influant sur les prix mondiaux du brut, c’était l’OPEP, l’organisation des pays exportateurs du pétrole. Ses membres possèdent 70% de réserves de l’or noir. La Russie qui ne fait pas partie de l’organisation, cherche tout de même à coordonner ses efforts de stabilisation du marché pétrolier mondial. D’ailleurs, l’OPEP estime que le prix entre 70 et 90 dollars le baril est optimal. La Russie partage cet avis. En même temps, en plus des efforts stabilisants, elle prévoit de prendre des mesures qui permettront d’assurer le développement de la production pétrolière dans la situation actuelle assez compliquée et de stimuler les processus d’investissement, selon l’expression de Vladimir Poutine. Pour cela, l’état a diminué les taxes pour les grosses compagnies pétrolières intégrées et il a annoncé l’intention de faire pénétrer les PME sur ce marché afin de rehausser l’efficacité de la branche en gros.