"Les participants à la réunion (Arménie, Biélorussie, Kazakhstan, Kirghizstan, Moldavie, Ouzbékistan, Russie, Tadjikistan, Ukraine et Centre antiterroriste de la CEI) ont examiné 17 questions relatives à certains aspects des activités antiterroristes. Nous sommes obligés de conjuguer nos efforts pour combattre les unités armées illégales, les extrémistes, les trafiquants de drogue et d'armes", a indiqué M.Bortnikov lors d'une conférence de presse.
La CEI est préoccupée par le fait que les bandits utilisent les nouveaux moyens de télécommunications pour s'entraîner, enrôler de nouveaux terroristes et faire des rapports sur leurs activités, selon le responsable.
Les pays membres de la CEI améliorent leurs législations nationales en étudiant l'expérience des pays occidentaux dont témoigne "la participation de représentants des services secrets de certains pays européens (Allemagne, Espagne, France et Italie - ndlr.) aux travaux du Conseil", a-t-il indiqué. "Nous sommes ouverts à la coopération", a ajouté M.Bortnikov.