"Nous regrettons que le président vénézuélien Hugo Chavez et son homologue bolivien Evo Morales aient pris la décision d'expulser nos ambassadeurs au Venezuela et en Bolivie. Cette décision traduit la faiblesse et le désespoir de ces leaders confrontés à de sérieux défis intérieurs et incapables de faire leurs preuves dans l'arène internationale pour obtenir un soutien international", lit-on dans une déclaration du porte-parole du département d'Etat américain, Sean McCormack, diffusée vendredi à Washington.
"Ceux qui crient plus fort que les autres ne font pas les événements sur le continent américain", a souligne le porte-parole, soulignant que les véritables changements étaient effectués par "des gouvernements pragmatiques" occupés à promouvoir "une évolution non tapageuse" et désireux "d'améliorer la vie de leurs citoyens".