Les leaders de huit puissances mondiales, réunies en sommet au Japon, ont adopté leur déclaration finale. Traditionnellement le document se divise en plusieurs parties. Quelques détails avec notre envoyé spécial Mikhaïl Kourakine :
Dans la première partie du document il s’agit de la nécessité de stabiliser le système financier mondial, ainsi que de la sécurité énergétique sur la planète. La déclaration indique que cette dernière doit se faire par le dialogue entre producteurs et consommateurs des hydrocarbures, par la transparence du marché, l’élaboration de nouvelles technologies énergétiques. De plus les leaders du G-8 ont dit leur attachement aux principes de sécurité énergétiques globale, proclamés au sommet de 2006 à Saint-Pétersbourg, et appelé les autres pays à les suivre. Il en va des droits égaux des fournisseurs et des clients des matières énergétiques. Car c’est de cet équilibre des intérêts que dépend l’avenir des marchés énergétique du monde. Afin de s’entendre sur ce problème le G-8 propose de convoquer un forum énergétique international représentatif engageant tous les principaux producteurs du pétrole et ses essentiels consommateurs. Une telle conférence pourrait se tenir à Londres déjà cette année.
Quant aux finances internationales, poursuit notre envoyé spécial, les participants au sommet constatent dans leur déclaration que la tension sur ce plan existe bien qu’un début de stabilisation s’annonce déjà. De plus, le système financier mondial ne se basera pas sur une seule monnaie de référence.
Le problème de crise alimentaire a trouvé également sa place dans la déclaration finale. Il est vrai qu’on préférait de parlait des prix, du déficit des denrées alimentaires. Mais sauf l’accroissement de leur production le monde ne connaît pas encore de moyens efficaces de solution du problème.
Dans la première partie du document il s’agit de la nécessité de stabiliser le système financier mondial, ainsi que de la sécurité énergétique sur la planète. La déclaration indique que cette dernière doit se faire par le dialogue entre producteurs et consommateurs des hydrocarbures, par la transparence du marché, l’élaboration de nouvelles technologies énergétiques. De plus les leaders du G-8 ont dit leur attachement aux principes de sécurité énergétiques globale, proclamés au sommet de 2006 à Saint-Pétersbourg, et appelé les autres pays à les suivre. Il en va des droits égaux des fournisseurs et des clients des matières énergétiques. Car c’est de cet équilibre des intérêts que dépend l’avenir des marchés énergétique du monde. Afin de s’entendre sur ce problème le G-8 propose de convoquer un forum énergétique international représentatif engageant tous les principaux producteurs du pétrole et ses essentiels consommateurs. Une telle conférence pourrait se tenir à Londres déjà cette année.
Quant aux finances internationales, poursuit notre envoyé spécial, les participants au sommet constatent dans leur déclaration que la tension sur ce plan existe bien qu’un début de stabilisation s’annonce déjà. De plus, le système financier mondial ne se basera pas sur une seule monnaie de référence.
Le problème de crise alimentaire a trouvé également sa place dans la déclaration finale. Il est vrai qu’on préférait de parlait des prix, du déficit des denrées alimentaires. Mais sauf l’accroissement de leur production le monde ne connaît pas encore de moyens efficaces de solution du problème.
Une autre partie de la déclaration finale est entièrement consacrée aux problèmes de changements climatiques, à l’écologie et à la réduction des émissions des gaz à effet de serre dans l’atmosphère. Le document ne contient pas de propositions radicalement nouvelles, mais se contente de fixer l’intention de réduire de 50 % leur quantité d’ci 2050. Lui-même le G-8 ne peut pas assurer un tel résultat. Même si les huit pays évolués ont zéro d’émissions de tels gaz à cette date, resteront encore des pays émergeants qui seront évolués vers 2050. Mais ces pays refusent maintenant de participer aux programmes appropriés. Comme l’indiquent les formules diplomatiques, le G-8 n’a pas trouvé de compréhension sur ce problème auprès de la Chine, Inde, Brésil. En dépit des formules générales, on peut dire que les leaders du G-8 ont une vision commune sur le problème écologique et les voies de sa solution. Car le G-8 ne donne pas de recettes, mais seulement discute en comité élargi des questions globales, conclut notre correspondant.