La Lettonie et l’Estonie devraient être exclues du Conseil de l’Europe si le problème des non-citoyens y demeure, a déclaré la vice-présidente du parlement russe Lubov Sliska, faisant le point de la table ronde « Les non-citoyens en Lettonie et en Estonie : un défi au droit international et aux normes des droits de l’homme ». La Russie œuvrera pour que tous les droits politiques et sociaux soient restitués à cette catégorie de citoyens dans les pays baltes, soulignent les parlementaires russes.
Plus de IOO mille personnes en Estonie et près de 4OO mille en Lettonie ont le statut discriminatoire sans précédent du point de vue du droit international de non citoyens, qui les humilie. Or, ces pays sont membres de l’UE et du Conseil de l’Europe. Les non-citoyens, essentiellement les Russophones des pays baltes, sont exclus de la vie politique, n’ont pas de droits électoraux et sont privés de droits économiques et sociaux. Les non-citoyens en Lettonie et en Estonie sont un défi au droit international et aux normes des droits de l’homme, estiment les parlementaires russes. L’Union européenne doit prendre conscience de sa responsabilité pour les violations des droits des minorités linguistiques dans les pays baltes, a noté le président du Comité international de la chambre basse du parlement russe Constantin Kossatchev.
Nous considérons que les possibilités du dialogue bilatéral sur ce thème avec les autorités de l’Estonie et de la Lettonie sont, malheureusement, très limitées en raison de la position de ces autorités, qui refusent tout dialogue. Dans cet ordre d’idées, nous considérons qu’il faudrait poursuivre la pression sur les autorités officielles de l’Estonie et de la Lettonie par les structures internationales pertinentes – l’UE, le Conseil de l’Europe, l’OSCE, l’OTAN et l’ONU. Nous poserons la question carrément dans toutes ces structures et espérons que nos collègues européens nous entendront, à défaut de quoi nous seront confrontés une nouvelle fois au problème des « deux poids deux mesures », quand on demande trop à la Russie, alors que vis-à-vis de la Lettonie et de l’Estonie on emploie un principe différent des « leurs et des étrangers », les leurs étant mis hors de cause en dépit des faits réels.
Selon Constantin Kossatchev, la politique d’assimilation forcée des Russophones dans les pays balte a fait faillite. Il appartient aujourd’hui à l’UE d’occuper une position de principe en matière de discrimination des Russophones en Lettonie et en Estonie, estime le président du Comité international de la Douma d’Etat.
Plus de IOO mille personnes en Estonie et près de 4OO mille en Lettonie ont le statut discriminatoire sans précédent du point de vue du droit international de non citoyens, qui les humilie. Or, ces pays sont membres de l’UE et du Conseil de l’Europe. Les non-citoyens, essentiellement les Russophones des pays baltes, sont exclus de la vie politique, n’ont pas de droits électoraux et sont privés de droits économiques et sociaux. Les non-citoyens en Lettonie et en Estonie sont un défi au droit international et aux normes des droits de l’homme, estiment les parlementaires russes. L’Union européenne doit prendre conscience de sa responsabilité pour les violations des droits des minorités linguistiques dans les pays baltes, a noté le président du Comité international de la chambre basse du parlement russe Constantin Kossatchev.
Nous considérons que les possibilités du dialogue bilatéral sur ce thème avec les autorités de l’Estonie et de la Lettonie sont, malheureusement, très limitées en raison de la position de ces autorités, qui refusent tout dialogue. Dans cet ordre d’idées, nous considérons qu’il faudrait poursuivre la pression sur les autorités officielles de l’Estonie et de la Lettonie par les structures internationales pertinentes – l’UE, le Conseil de l’Europe, l’OSCE, l’OTAN et l’ONU. Nous poserons la question carrément dans toutes ces structures et espérons que nos collègues européens nous entendront, à défaut de quoi nous seront confrontés une nouvelle fois au problème des « deux poids deux mesures », quand on demande trop à la Russie, alors que vis-à-vis de la Lettonie et de l’Estonie on emploie un principe différent des « leurs et des étrangers », les leurs étant mis hors de cause en dépit des faits réels.
Selon Constantin Kossatchev, la politique d’assimilation forcée des Russophones dans les pays balte a fait faillite. Il appartient aujourd’hui à l’UE d’occuper une position de principe en matière de discrimination des Russophones en Lettonie et en Estonie, estime le président du Comité international de la Douma d’Etat.