Les participants à la conférence de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) à Rome ont confirmé la volonté de combattre la faim sur la planète. C’est ce qui a été fixé dans la déclaration finale du sommet, axé sur les problèmes de sécurité alimentaire.
Le document traite de la nécessité d’adopter une série de mesures, dont la mise en œuvre permettra de réduire de moitié le nombre de personnes souffrant de la faim (plus de 800 millions) d’ici 2015. Il s’agit, en particulier, de lever les barrières commerciales, d’accroître la productivité et la production, de stabiliser les prix des denrées alimentaires. Les pays membres de la FAO affirment dans cette déclaration que la nourriture « ne devrait pas être utilisée comme moyen de pression économique et politique ».
Néanmoins, nombreux sont les analystes à estimer que le forum de Rome n’a pas réussi à se concentrer sur l’essentiel dans la situation dramatique sur les marchés alimentaires et à élaborer un programme concret d’action sur la crise. De l’avis du vice-ministre des AE Alexandre Iakovenko, les pays membres de la FAO ne sont qu’au début du chemin vers la compréhension des problèmes, auxquels la communauté internationale est confrontée.
Des causes pour cela sont nombreuses. Les experts divergent sur les véritables raisons de la crise alimentaire, même si tous sont conscients de son caractère durable. Surtout que la population mondiale va augmenter. La tâche cardinale des Etats évolués est, en conséquence, de comprendre la nature de la crise et d’étudier des approches communes afin des résoudre ensemble les problèmes.
Le document traite de la nécessité d’adopter une série de mesures, dont la mise en œuvre permettra de réduire de moitié le nombre de personnes souffrant de la faim (plus de 800 millions) d’ici 2015. Il s’agit, en particulier, de lever les barrières commerciales, d’accroître la productivité et la production, de stabiliser les prix des denrées alimentaires. Les pays membres de la FAO affirment dans cette déclaration que la nourriture « ne devrait pas être utilisée comme moyen de pression économique et politique ».
Néanmoins, nombreux sont les analystes à estimer que le forum de Rome n’a pas réussi à se concentrer sur l’essentiel dans la situation dramatique sur les marchés alimentaires et à élaborer un programme concret d’action sur la crise. De l’avis du vice-ministre des AE Alexandre Iakovenko, les pays membres de la FAO ne sont qu’au début du chemin vers la compréhension des problèmes, auxquels la communauté internationale est confrontée.
Des causes pour cela sont nombreuses. Les experts divergent sur les véritables raisons de la crise alimentaire, même si tous sont conscients de son caractère durable. Surtout que la population mondiale va augmenter. La tâche cardinale des Etats évolués est, en conséquence, de comprendre la nature de la crise et d’étudier des approches communes afin des résoudre ensemble les problèmes.
Le déficit des denrées alimentaires dans le monde est dû à un ensemble de facteurs. Y compris à la demande croissante des produits alimentaires, liée à l’accroissement de la population, à la baisse de la productivité dans de nombreux pays, à l’enchérissement des ressources énergétiques, ce qui augmente les frais de la production, à l’aspiration des pays importateurs du carburant à le remplacer par le biocarburant et d’autres types de combustible. Selon les données du directeur général de l’organisation Jacques Diouf, rien qu’en 2006 100 millions de t de céréales ont été retirées du circuit alimentaire afin de satisfaire « la soif des voitures en carburant ».
Pour nourrir les affamés de la planète il faudra une solution complexe. C’est pourquoi la crise alimentaire fera objet de l’examen au sommet du G-8 début juillet au Japon.
Pour nourrir les affamés de la planète il faudra une solution complexe. C’est pourquoi la crise alimentaire fera objet de l’examen au sommet du G-8 début juillet au Japon.